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#culture

2 mai 2017 22 h 35 min
2 Comments

Gaël Hamayon, mon invité ce soir

Gaël Hamayon, Délégué aux relations presse et relations publiques institutionnelles de Radio France, a publié la tribune suivante (et me fait l’honneur de m’autoriser à la partager avec vous ici) :

« Culture, je t’aime ! »

Grâce à toi, j’ai traversé des obstacles. Grâce à toi, j’ai soigné des douleurs. Grâce à toi, j’ai aimé des hommes et des femmes. Issu d’un milieu modeste, j’ai grandi et étudié à Trappes, dans les Yvelines. La Culture est venue à moi, pour mon plus grand bonheur, dès ma plus tendre enfance, grâce aux valeurs inculquées par mon père, ma grand-mère et mes maîtresses d’école. J’ai commencé par aimer la Culture avant de devenir un bon élève. Je me remémore les visites au château de Versailles, mon premier spectacle de danse, mon entrée au Conservatoire de théâtre à Versailles, les séances de cinéma à Trappes au « Grenier à Sel » où j’amassais le plus de souvenirs possible ; je n’y connaissais rien mais j’étais le plus heureux des garçons. Comme cette mèche de cheveux de Robespierre, que j’ai découverte à l’âge de 7 ans au musée Carnavalet, qui m’a intrigué, hanté très longtemps et permis d’aborder l’Histoire de France avec gourmandise tout au long de ma scolarité. La Culture n’est ni hautaine, ni mondaine : elle appartient à chacun d’entre nous. Laure Adler* aimait à dire, quand je travaillais à ses côtés à France Culture : « Notre radio ne s’adresse pas au bac+10 mais au bac -10. Nous sommes là pour donner des clés de compréhension à tous nos auditeurs, nous devons être accessibles au plus grand nombre, libre à chacun d’aller plus loin. » Pourquoi tant de personnes n’osent pas pousser les portes d’un musée, aller à un concert de musique classique, jouer d’un instrument de musique ? Quels que soient nos origines, notre classe sociale, notre niveau scolaire, chacun d’entre nous peut ressentir de l’admiration face à une sculpture de Rodin, de la tristesse en écoutant du Brahms ou être critique vis à vis d’un tableau de Picasso, sans pour autant en connaître son auteur, son parcours, son histoire et ses codes, par exemple. Il suffit donc de peu de chose pour aider celles et ceux qui se sentent illégitimes face au mot Culture ! A la veille de l’élection présidentielle, la Culture ne trouve malheureusement pas sa place dans les débats. Cher futur Président de la République, la Culture doit être une de vos priorités, pendant ces cinq prochaines années, si nous voulons partager de vraies valeurs, comprendre le monde de demain et l’appréhender différemment. Je compte sur vous !

*Laure Adler a été Directrice de France Culture de janvier 1999 à septembre 2005, elle présente aujourd’hui « L’Heure Bleue » sur France Inter.

Gaël Hamayon a publié cette tribune sur Twitter avant le premier tour des élections présidentielles, mais hélas, elle peut toujours s’adresser aux deux candidats en lice, puis au président élu. Elle a été retweetée de nombreuses fois car elle a, à juste titre, fait l’unanimité, et elle a été reprise par Le nouvel économiste… Vous pouvez retrouver l’ami Gaël sur Twitter : @gaelhamayon mais attention, vous participerez à toutes les activités de Radio France d’un coup ! 

Category: Actualité culturelle
Tags: culture, élections présidentielles, Gaël Hamayon, Radio France, tribune, Twitter
25 novembre 2015 23 h 19 min
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Contre le rétrécissement lexical !

Tout est « cool » ou « relou » ?!

Tu pars en vacances ? C’est cool ! Ton boss refuse tes congés ? C’est relou ! T’as trouvé un job ? C’est cool ! T’es au chômage ? C’est relou ! T’as rencontré quelqu’un ? C’est cool ! T’es tout(e) seul(e) ? C’est relou ! On se voit ce soir ? C’est cool ! T’es pas libre ce soir ? C’est relou ! Tu déménages ? C’est cool ! T’es toujours chez tes parents ? C’est relou !

Sommes-nous dans un univers binaire informatique, 01, oui-non, positif-négatif, blanc-noir ? Plus de nuances ?

Et la richesse de la langue française ?

D’accord, on élimine « chouette, génial », trop datés. Mais c’est intéressant, voire excitant de partir en vacances, admirable ou extraordinaire d’avoir un emploi, merveilleux ou charmant d’avoir rencontré l’amour, sympa de passer une soirée ensemble et c’est une aventure positive de déménager… Suivant le niveau de langue où l’on se place, c’est salaud, ou vache, ou contrariant que le chef refuse tes congés, angoissant, décourageant ou énervant, voire chiant d’être au chômage, désespérant, triste ou pénible d’être seul(e), agaçant ou désagréable que tu ne sois pas libre ce soir et nase, nul, rétrograde que tu habites toujours chez tes parents.

Il ne s’agit pas là de critiquer l’anglicisme « cool » (bien que je préfère dire que « je vais me concentrer sur les messages transmis avant la réunion du Bureau » plutôt que « je vais focuser sur les mails forwardés avant le meeting du Board ») ou le verlan « relou », mais plutôt l’étroitesse d’esprit que leur emploi à tout crin suppose. En effet, les employer pour les petites comme les grandes choses suppose que tout équivaut à tout : c’est exactement la même chose de trouver un job, un appart’ ou l’amour que de partir en vacances ou de pouvoir passer une soirée – forcément « cool » elle aussi – entre amis, comme ça a exactement le même impact sur ta vie de ne pas pouvoir partir en congés, de ne pas avoir de job, de petit(e) ami(e) ou d’appart’.

La langue véhicule la culture grâce à un système de références internes (corpus littéraire, usages, mode de vie) mais elle permet aussi de nuancer notre pensée en l’exprimant de la manière la plus fine possible. Si je dis la même chose à propos de tout, c’est que je pense la même chose sur tout, mon intelligence est limitée, mes émotions rétrécissent aussi et je ne peux plus communiquer mon enthousiasme, mon empathie, ma tendresse, mon indifférence, mon affection ou ma révolte, mon antagonisme ou ma commisération dans ce système binaire simplifié.

J’ai donc décidé d’éliminer ces deux expressions de mon vocabulaire et de réagir à ce que tu me dis avec davantage de finesse et donc de sincérité (c’est tellement vite dit : « c’est cool » ou « c’est relou », ou écrit par sms ou dans un chat : « c cool » ou « c relou », ce qui veut juste dire « j’accuse réception de ton info positive/négative » et basta).

 

Category: Actualité culturelle
Tags: cool, culture, français, nuance, relou, vocabulaire
19 mars 2015 23 h 44 min
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La Maison des Métallos à Paris

Un morceau d’histoire populaire

Architecture industrielle pour un lieu culturel parisien… Bizarre ? Non ! Héritage de l’Histoire au coeur du 11ème arrondissement ouvrier et populaire (aucun des termes n’étant péjoratif). A la fin du 19ème siècle, c’est une manufacture d’instruments en cuivre.

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La société Couesnon travaille pour les jazzmen américains et subit les effets de la crise de 29. En 1936, elle doit vendre les bâtiments, juste au moment où les travailleurs de la métallurgie se syndiquent en masse à la CGT. Avec l’argent des cotisations, la CGT achète les bâtiments qui deviennent le rendez-vous de toutes les luttes : aide à l’Espagne républicaine, Résistance pendant la Deuxième guerre mondiale suite à laquelle on donne à la rue le nom d’un résistant communiste, Jean-Pierre Timbaud, puis lutte contre les guerres du Vietnam et d’Algérie.

Témoins de cette époque, les piliers du hall et la voûte en métal au-dessus du Café des métallos, et la cour qui garde la mémoire des brigades internationales :

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Lorsque l’Union Fraternelle de la Métallurgie doit vendre, en 1997, les promoteurs privés guettent. Mais les habitants du quartier et les associations se battent pour que ce lieu historique ne soit pas détruit et qu’y soient construits des appartements sans cachet. La Mairie de Paris rachète et convertit le lieu en un espace culturel très actif : débats publics, spectacles vivants, manifestations associatives etc. Il y a même un studio audio et un studio vidéo à l’intérieur ! On vient y passer une soirée avec plaisir, goûtant l’atmosphère chaleureuse d’un ancien lieu de rassemblement tout simple.

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Le programme est disponible sur le site : ici

Category: Mes sorties
Tags: culture, lutte, Paris, syndicat
26 janvier 2015 22 h 12 min
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Ma langue, ta langue, notre langue

Ma langue

A la naissance, chacun de nous entend parler une langue, la langue maternelle (ah bon, ton père ne te parle pas ? Il faut croire que non… c’est ta mère qui s’occupe de toi…). Cette langue, nous apprenons à la parler à notre tour, en comprenant qu’elle est utile pour communiquer avec les autres. Puis à l’école, nous la développons, avec l’acquisition d’un vocabulaire toujours plus large, de façon à exprimer les moindres nuances de notre pensée et de nos émotions. Nous en apprenons également les différents niveaux : soutenu, neutre, familier, voire populaire ou argotique. En la pratiquant, nous comprenons à quel niveau nous pouvons échanger avec nos différents interlocuteurs – les parents et les personnes plus âgées, les instituteurs, les copains, etc. Un corpus linguistique se forme, en soutien d’une culture spécifique. En l’occurrence, en France, on apprend la culture française. Un exemple simple ? Acheter le pain. Ailleurs en Europe, il se vend en miche, au kilo, ici c’est le pain, la baguette, le bâtard, la ficelle, qui représentent certes un poids déterminé, mais il faut savoir qu’on ne demande pas une livre de pain à la boulangerie. Et j’ai pris un exemple simple à dessein.

Ta langue

Je parle une langue et je te rencontre. Tu viens d’ailleurs. Tu ne parles pas ma langue et je ne parle pas la tienne. Nous parlons, mais nous ne nous comprenons pas. Quelle tristesse ! Alors je veux te tendre la main : j’apprends ta langue. Je fais l’effort de prononcer des sons qui me sont étrangers. Je mémorise une grammaire différente de la mienne où la syntaxe aussi est bouleversée. Petit à petit, je maîtrise des concepts abstraits et affine ma pensée dans cet univers différent, où la langue reflète une culture autre. J’apprends des codes nouveaux. Un exemple simple ? En japonais, il y a le langage masculin et le langage féminin, pas question pour la femme que je suis d’employer certains pronoms ou certaines désinences verbales réservées aux hommes. Ce faisant, je découvre un monde organisé selon d’autres lois, une culture qui ne ressemble pas du tout à la mienne. Je m’ouvre et mon horizon s’élargit. Cela me permet aussi de ne plus juger l’étranger car je le comprends. Et pas besoin de traduction pour avoir accès à une littérature étrangère qui décrit un univers dans lequel je voyage à loisir ! De ce fait, je porte également un regard différent sur ma propre langue car je la compare à l’autre, aux autres que j’apprends. Je vois mieux ses lacunes et ses richesses, je l’utilise de façon plus avisée car je suis consciente des outils qu’elle me propose.

Notre langue

De ton côté, tu viens vers moi en ayant appris ma langue. Nous parlons une langue commune car tu as voulu me tendre la main. C’est toi qui as fait l’effort d’apprendre ma grammaire, ma syntaxe, mes références culturelles. J’apprécie le cadeau, l’effort. Le français vient du latin, ta langue maternelle est peut-être slave, sémite, anglo-saxonne… D’Europe du Nord, de l’Est, du pourtour méditerranéen, d’Asie, d’Amérique, d’Afrique, tu viens chez moi et tu me parles de façon à ce que je te comprenne sans effort. Ainsi, c’est ton horizon qui s’est élargi et ton esprit qui s’est enrichi. Tu peux lire les auteurs français sans traduction et comprendre le monde dans lequel je vis. Cela facilite nos relations car tu me comprends.

Conclusion

Apprenant l’arabe, je m’ouvre à une aire géolinguistique nouvelle et riche. Je tends la main à une culture radicalement différente de la mienne pour la pénétrer de l’intérieur et en comprendre les codes. Je vois la beauté de cette langue ancienne qui n’a rien à envier aux langues indo-européennes. Je découvre en direct une philosophie subtile, une poésie raffinée, une expression littéraire variée. En peu de temps, j’ai pu démonter tous les clichés sur les peuples arabes. N’est-ce pas là l’une des solutions à un « vivre ensemble » pacifique ?

Category: Mes cours d'arabe
Tags: apprendre, culture, langue
25 janvier 2014 23 h 38 min
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Mes débuts en arabe

LA MOTIVATION

Au bureau, nous recevons des collègues de tous les pays arabes, nous leur téléphonons. Ils me parlent de leur pays, leur accent chante à mes oreilles… Ils s’expriment dans un français fleuri, un anglais chaleureux. Toute l’exubérance de l’Orient se retrouve dans leurs échanges avec nous. Et nous adoptons l’arabe comme langue de communication officielle, avec le français et l’anglais. Je vois passer des textes dans cette graphie dansante totalement indéchiffrable, ça m’intrigue, « ils » m’intriguent. Pourquoi ne pas aller vers eux, moi qui parle déjà cinq langues ?

MES DEBUTS

Le Chef est d’accord avec mon projet : je vais apprendre l’arabe. Aucun effort à faire, le professeur se déplace jusqu’à mon bureau ! C’est donc ma sixième langue vivante (la 7ème si je compte le bengali dont je n’ai appris que les rudiments avant d’abandonner), la 3ème qui ne s’écrit pas avec des caractères latins, après le bengali et le japonais, et la 3ème non indo-européenne après le hongrois et le japonais. J’ai donc tout de suite quelque chose à quoi me raccrocher. Accepter donc comprendre une structure autre, un mode de pensée soutenu par une construction spécifique. Chaque mot a une racine, reconnaître la racine dans un mot c’est tout de suite en comprendre le sens. Et puis il y a les sons ! Telles des caresses, des chuintements, des murmures à l’oreille… Séduction des sonorités, fascination pour la sémantique qui permet le sous-entendu, la concision, la poésie ! Ouverture à une culture jusqu’ici mystérieuse, explication par la langue de processus culturels jusqu’alors obscurs, compréhension soudaine de l’origine de certaines expressions aux traductions biaisées ou simplifiées. Vision globale d’une langue ancienne, complexe, souple, riche, agile, nuancée, qui permet les élans poétiques ou la coupante précision de la philosophie, les élans d’amour et la mystique de l’amour suprême, celui pour Dieu. Pénétrer la culture de ce peuple à la sagesse antique en manipulant son vocabulaire, d’abord maladroitement, puis s’approprier les constructions grammaticales fascinantes, autres, étranges étrangères, outils de précision pour viser au plus juste de la pensée, pensée venue du fond des âges. La base dont tout le monde s’est éloigné dans les pays arabes mais à laquelle tout le monde revient. « Classique », « littéraire », socle commun à tous les dialectes qui jonglent avec les structures, inventent des néologismes, se laissent influencer par les colonisateurs, gouverneurs, mandataires, anglais, français…

ET L’ECRITURE

Alphabet, certes, mais les lettres ne s’écrivent pas de la même façon suivant qu’elles sont initiales, médianes ou finales. Il y a celles qui s’accrochent et celles qui ne s’accrochent pas aux suivantes. Des mots avec des espaces… Les voyelles courtes ne se notent pas, les voyelles longues qui se notent, au nombre de trois : a, i, u (prononcé ou). Un seul article défini indépendamment du genre (car il y a des genres en arabe, contrairement à d’autres langues non indo-européennes). La consonne initiale qui admet la prononciation complète de l’article al – sur le modèle d’al qamar, la lune – est donc lunaire ; la consonne initiale qui n’admet pas la prononciation du « l » de l’article al – sur le modèle d’achams, le soleil – est donc solaire. De la poésie déjà dans la grammaire : les consonnes lunaires rêvent-elles ? les consonnes solaires brillent-elles d’un éclat aveuglant ? Et pas d’article du tout : le nom est indéfini.

MON PROFESSEUR

Tarek est égyptien, diplômé d’Al-Azhar, la prestigieuse université du Caire. Cultivé, fin, drôle, curieux, passionné, il est jeune et poursuit des études de didactique de l’enseignement des langues étrangères, se spécialise dans l’étude de l’enseignement du dialecte égyptien en France à travers l’analyse des manuels existants. Nous échangeons sur la linguistique comparée, l’Islam et le catholicisme, les coutumes occidentales et arabes. Parfois je l’entraîne dans des débats qui nous éloignent du cours, mais il se laisse volontiers emmener, il sait que je ne lâcherai pas comme tant d’autres de ses élèves rebutés par la difficulté de la langue et prend désormais son temps pour échanger avec moi sur nos centres d’intérêt communs. Sa méthode n’est pas tout à fait celle des professeurs de langue mais elle me convient parfaitement et je progresse vite. J’expliquerai comment une prochaine fois…

Category: Mes cours d'arabe
Tags: arabe, classique, cours, culture, débuts, dialecte, écriture, grammaire, sons
Réalisé par Stéphane Roche • http://www.stephane-roche.fr