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Mes sorties

17 mai 2014 11 h 25 min
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TINARIWEN

Les concerts publics à Radio France

On ne le sait pas assez, mais la Maison de la Radio à Paris propose toutes sortes d’émissions et de concerts enregistrés en public, et auxquels on peut assister gratuitement. Ainsi, le studio 105 accueille les sessions publiques de FIP.

Ce jeudi, deux parties comme d’habitude : d’abord la chanteuse marocaine Oum qui chante en dialecte des mélodies plaisantes inspirées de son pays d’origine, et ensuite le groupe du Nord Mali Tinariwen.

Tinariwen, les hommes voilés venus du désert

Hommes du désert – Tinariwen en langue amasheq est le pluriel de Ténéré, désert – ils chantent les souffrances de leur peuple, la douleur de l’exil, mais aussi la résistance et la tradition séculaire des Touareg, demandent des écoles, le respect de leur culture et le droit à l’existence dans un pays à la politique instable, car ils ont choisi ce moyen pacifique de se défendre pendant la rébellion touareg des années 90. Leur dernier album, Emmaar est sorti récemment. Leur prochain concert en France : Saint-Cloud, dimanche 24 août.

Leur musique mélange rock, blues et tradition, cogne, swingue, pleure et nous entraîne dans un univers où les vents chauds du désert tourbillonnent avec force et où le sable délicat et poli nous caresse la peau avec des sons feutrés.

La formation n’est pas figée et de nombreux musiciens touareg participent à leurs albums, on ne les verra pas forcément en tournée. Sur scène, trois générations au talent égal et c’est aussi émouvant de voir que le flambeau se transmetLe plus âgé ne danse pas, il ondule avec soudain un geste saccadé des poignets en accord avec les rythmes syncopés. Lorsqu’il ne joue pas de la guitare, Abdallah chante les choeurs puis fait quelques pas vers le public, le bras levé, paume tournée vers nous comme dans un geste d’amitié, tenant un coin de son voile blanc parfois comme un drapeau pacifique, puis retourne vers son micro, nous faisant toujours face.

photo (32)photo (33)

Nous dansons, nous tapons dans nos mains, il y a une ambiance du tonnerre. Sur le dernier morceau, le rythme s’accélère dans une frénésie très maîtrisée, on siffle, les femmes font des youyous dans le public, tout le monde danse (par contagion, j’ondule et je bouge les poignets, paumes ouvertes, le style touareg ?). Voici ce que ça donne :

Category: Mes sorties
Tags: concert, désert, musique, Touareg
3 avril 2014 21 h 21 min
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Le 104 – Le café caché

Un chiffre… une adresse… un lieu

Le 104 est situé au 104 rue d’Aubervilliers, dans le 19ème arrondissement de Paris, c’est aussi simple que cela ! Les anciennes Pompes funèbres de Paris, d’abord sous l’autorité de l’Eglise à la fin du XIXème siècle, puis sous contrôle municipal après la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat, sont un lieu gigantesque. Il y avait les corbillards, les cercueils et donc les ateliers de menuiserie qui les fabriquaient, et en sous-sol une écurie de 300 chevaux. Puis, après la motorisation, un garage avec des voitures. Dans les bâtiments, des magasins qui vendaient des articles funéraires. En revanche, les locaux n’ont servi de morgue qu’au corps des guerres du XXème siècle : Seconde Guerre mondiale, guerres d’Indochine et d’Algérie où l’on entreposait les corps des rapatriés avant de les confier à leur famille.

Cela donne un espace immense :

560px-Cent_quatre

En 2003, la Ville de Paris reconvertit cet endroit en centre culturel, plus exactement un « établissement public à caractère industriel et commercial de coopération culturelle ». Des spectacles de danse et de théâtre y sont organisés, on y voit des expositions et des concerts, des installations y prennent place. Et il y a aussi des artistes en résidence qui passent une année, voire deux sur place et créent une oeuvre ou un spectacle. On a pu ainsi voir le chorégraphe tunisien Redouane Al Meddeb créer sa chorégraphie sur la chanson d’Oum Kalthoum Al Atlal (Les ruines), spectacle magnifique de 35 minutes, le collectif Berlin qui a fait l’objet d’un article ici et bien d’autres encore… On peut voir tout au long de l’année le work in progress ou aussi bien l’oeuvre abouti. Chaque visite au 104 est ainsi une aventure : de la brume s’échappe d’un atelier où l’on ne doit se fier qu’à ses sens en dehors de la vue, des oiseaux pépient dans une installation pour petits mandarins et guitares électriques, nous sommes invités à nous asseoir dans une grosse bulle où tout à coup des milliers de petites bulles en plastique tournoient tout utour sans nous toucher, un micro capte les bruits des mâchoires de termites qui grignotent une souche de bois…

Expositions monumentales

Le lieu se prête tout naturellement à des installations gigantesques, comme l’oeuvre de l’Egyptien Moataz Nasr I am free pour laquelle nous sommes invités à grimper au sommet d’un grand escalier où se trouvent deux ailes d’aigle déployées, évoquant la liberté pas forcément allant de soi dans son pays. Je ne résiste pas, ça donne ça :

I am free

Voici deux sculptures géantes de la rétrospective Keith Haring, the Political Line, merveilleusement mises en espace ici. Le container avec les artefacts de l’artiste a également trouvé sa place dans cette grande cour. Les oeuvres de dimension plus modeste trouvant leur place au Musée d’Art Moderne, les deux expositions se complétaient à merveille :

photo 1 (4)photo 2 (4)

Le café caché

Après toutes ces émotions, on peut dîner dans un lieu super sympa : Le café caché « Pour vivre heureux, vivons cachés », un lieu où l’on entre en traversant des grandes bandes de plastique transparent rigide, puis une terrasse un peu fraîche où des familles ou des amis boivent des verres avant un spectacle ou en sortant de l’expo. Les petits enfants courent partout dans ce vaste espace, c’est déjà rigolo. Puis on entre dans le restaurant lui-même, tout décoré en bois, où l’on est accueilli par des jeunes gens chaleureux. On mange un bon hamburger avec des frites maison, on boit un coup de rouge et en dessert, une petite panna cotta aux fruits rouges descend toute seule !  Jugez vous-même :

café caché

Bon j’ai été un peu longue, mais je vous ai montré : le lieu, une installation, une exposition et le restaurant !

Vous ne pourrez plus dire que vous n’avez vraiment pas envie de découvrir cet endroit  !!!

Category: Mes sorties
Tags: 104, exposition, installation, restaurant
6 février 2014 21 h 33 min
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Miss KO

Un restaurant… magique

carte postale Miss Ko

49-51 avenue George V
75008 PARIS

Restaurant chinois ET japonais ET coréen, déjà c’est rare, ces cuisines étant très différentes les unes des autres. Mais gyoza et bo bun font bon ménage avec le kimchi et d’autres plats originaux. L’essentiel n’est pas là ! Dès qu’on entre, on a l’impression d’être dans Blade Runner, le film de Ridley Scott : une ambiance futuriste, avec un décor de Philippe Starck magnifique, un grand écran où défile un morphing de visages asiatiques, une immense théière en papier accrochée au plafond et des écrans vidéo sur la grande table où nous dînons ,avec des chaînes japonaises et chinoises. Un grand dragon rouge passe de gauche à droite et de droite à gauche tous les quarts d’heure. C’est beau, ça bouge, il y a une énergie terrible !

Miss Ko la salle

Minuit chez Miss Ko
je m’extrais de moi-même
Mon regard englobe le Monde.

Mes amis boivent un cocktail improbable avec du litchi et du rhum, je choisis un grand verre de vin argentin d’un rouge sombre, capiteux,  bien charpenté… A 22h, une dj nous passe des morceaux très pointus, du rock et de la pop… Le personnel est super gentil, les plats sont  apportés sur d’immenses plateaux par des jeunes gens à la peau sombre, au corps mince et musclé, aux yeux de biche. C’est chaud et c’est  froid en même temps, je me trouve plongée au coeur de mon univers de prédilection, il me vient soudain un poème, j’observe les trentenaires  débonnaires en goguette un samedi soir, au bar deux d’entre eux discutent avec deux jeunes Anglaises qui hachent leurs syllabes et leurs  sourires.

Miss Ko la table

Category: Mes sorties
Tags: chinois, coréen, japonais, restaurant, vidéo
1 février 2014 1 h 12 min
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Moneim ADWAN

Cinq musiciens sur scène : de gauche à droite sur un tapis de 25m² violoncelle, violon, Moneim et son oud, cithare, percussions. Il chante des extraits de son dernier album Jasmin, poèmes de Mahmoud Darwich qu’il a mis en musique. Dès les premières notes de cithares on est emporté très loin… Parfois un mot m’est offert, la moitié d’un vers, les autres me caressent, m’enchantent, me bercent. Mon âme s’évade vers des paradis bleus où des hommes aux yeux sombres interrogent ma blonde pâleur… Je fantasme un Moyen Orient baigné de lumière et oublie Paris sous la pluie. Oui ce soir je me laisse aller à une douce rêverie teintée de mélancolie, à l’image de cette musique tour à tour poignante et câline. Demain, promis, je sors mes cahiers, j’apprends mon vocabulaire, je cesse de somnoler à l’ombre du palmier et la prochaine fois je comprendrai davantage, je reconnaîtrai peut-être ce vers magnifique : « Gardons-nous de ne pas remuer le sel des mers anciennes », ou : « Pleurer n’est qu’impuissance, pleurer n’est que du sel ». Les Palestiniens ne pleurent plus en effet, ils chantent leur peine avec les mots de leur poète le plus célèbre qui parle de la douleur de la séparation et de l’exil mais aussi des beaux cheveux de la bien-aimée… Un extrait ? Yalla!

Category: Mes sorties
Tags: jasmin, musique, oud, Palestiniens
27 janvier 2014 23 h 16 min
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Yves Saint Laurent Parfums

MON PARFUM

Soudain en juin, une envie de différence : la nouvelle Domi, plus sûre d’elle, plus dynamique, les ailes déployées dans le printemps… On me trouve radieuse ? Très bien, je vais exprimer cette radiance par un nouveau rouge à lèvres, rose, lumineux, vif mais pas fuchsia (ça c’était Domi Iconic avec Dior au milieu de l’hiver…), clair et primesautier. Vers qui aller ? Yves Saint Laurent bien sûr ! LE spécialiste des roses bleus (et quelquefois ça fait du bien d’arrêter de réfléchir à la Weltanschauung de Heidegger et de se poser les vraies questions). En route pour un rendez-vous dans le XVIIème, je m’arrête au Printemps et rencontre un jeune homme délicieux chez Saint Laurent. On s’entend tout de suite à merveille, forcément il est très commerçant, donc j’ai une peau très fraîche, on me donnerait des années en moins, j’ai des yeux bleus magnifiques qu’il faut mettre en valeur avec la Touche éclat, le produit phare de la Maison, il s’en vend un toutes les 20 secondes dans le monde, ça gomme les reliefs, illumine le regard en anti-cernes, met de la lumière dans le terne (il a lu dans mes pensées, ou quoi ?). En fait de rouge à lèvres, je prends aussi ce produit, le sérum contour des yeux, c’est la gamme Forever, tu comprends tout de suite qu’on te vend de la jeunesse mais tu n’es pas dupe, tu ES jeune !!!

Et là, le choc inattendu, qui se produit si rarement dans la vie, la rencontre, l’éblouissement, le coup de coeur incroyable ! Je défaille, je vacille, je suis séduite à tout jamais, perdue, attirée irrésistiblement : je viens de respirer une fragrance toute nouvelle, ça vient de sortir et c’est même tellement nouveau qu’on le trouve en exclusivité dans les Grands Magasins ! Je me pâme avec quelques gouttes au creux du poignet. Majestic Rose ! Un boisé oriental qui évoque les cercles littéraires dans les salons feutrés d’un Palais oriental où l’on discute de manuscrits précieux mais où se nouent aussi de secrètes intrigues amoureuses… « C’est pour moi la littéraire amoureuse ! » Et le jeune homme poursuit : »Le logo noir YSL en transparence sur ce flacon de verre cubique évoque les moucharabiehs des harems ». « C’est pour moi qui apprends l’arabe ! » m’écriai-je derechef. Et voici qu’il me dit que ce parfum original à la rose de mai et au bois d’oud (j’explique dans un instant ce que c’est, pas de panique !) ira à une femme de caractère telle que moi, working girl affirmée et sûre de sa place dans la vie… J’hésite, je viens de me racheter mon parfum, c’est une grosse dépense… Deux heures plus tard, je repasse par là et je n’hésite plus : si je ne sens plus ce parfum au quotidien sur ma peau je vais me languir comme une amoureuse abandonnée… Le jeune homme éclate de rire en me voyant revenir, nous sommes amis pour la vie ! C’est dit : je laisserai sur mon passage un sillage capiteux, aux mystérieux effluves boisés orientaux de rose, de safran et de framboise. Séduits, les hommes s’évanouiront, fascinés, et moi je serai emmenée par un fier cavalier des steppes tout juste descendu de son cheval aux naseaux encore fumants, euh… non là, Domi, tu délires… Ah ? Dommage… Euh les garçons, vous en pensez quoi, de mon nouveau parfum ?

mjestic Rose

majestic Rose

LA SOIREE PARFUMS YVES SAINT LAURENT

Cliente fidèle (ben oui, j’en suis à mon 2ème flacon hors de prix, tu penses), je suis invitée ce lundi soir à une soirée de présentation des parfums Yves Saint Laurent, depuis le tout premier en 1964, Y, jusqu’à Opium et Paris, en passant par Rive Gauche et Pour un Homme… On nous explique qu’il faut entre 3 et 5 ans pour élaborer un parfum. Il y a 14 experts olfactifs chez Saint Laurent, mais Monsieur était un pionnier olfactif, un avant-gardiste. Ses parfums représentent le luxe, l’opulence, l’audace, la sophistication, le contraste (oui c’est tout moi, ça), un délice avec une overdose de la matière. Ah ? Oui, il y a un « thème overdosé portable ». Un arôme poussé à l’extrême, au-delà de la norme mais tellement travaillé, ciselé, que cest renversant. Un apprenti « nez » doit connaître les 1500 parfums naturels et les 1500 parfums synthétiques, sachant que l’emploi d’un parfum synthétique va sublimer le parfum naturel. Yves Saint Laurent a osé utiliser des épices comme le poivre et les baies roses en plus du girofle et de la cannelle, dans Opium par exemple, et il a été le premier à sortir du registre des eaux de cologne fraîches pour homme en construisant un chypré (celui pour lequel il a posé nu au début des années soixante-dix). On nous donne des languettes parfumées à la violette, à la gousse de vanille, au santal, au vétyver, à l’iris, etc. pour nous faire comprendre ce qui entre dans la composition de chaque parfum que l’on nous fait respirer aussi. C’est très intéressant ! Et enfin :

LE BOIS D’OUD (OUD WOOD)

C’est LA découverte de la parfumerie aujourd’hui ! L’ingrédient sublimissime ! Il y en a dans mon nouveau parfum, normal, on suit l’actu ou on ne la suit pas… Il s’agit d’un arbre qui pousse beaucoup au Maroc mais ailleurs aussi et qui s’appelle l’agar. Il a la particularité d’être attaqué par un champignon qui le dévore. Et c’est alors que, malade, il exhale un parfum extraordinaire. On gratte donc la couche rongée par le champignon et on distille. Simple, oui, mais… Il faut un certificat spécial pour importer cette « maladie » en France, aussi des parfumeurs indélicats utilisent l’oud synthétique. Mais devinez quoi ? Saint Laurent a les précieux certificats pour distiller le vrai champignon naturel bien horrible !!! C’est capiteux, envoûtant, original, rare… Si on se croise, vous le respirerez sur ma peau… Hmmm…

Yves Saint Laurent parfumsYves Saint Laurent 1

Category: Mes sorties
Tags: oud, parfum, Printemps, rose, rouge à lèvres, Saint Laurent, soirée
20 janvier 2014 23 h 21 min
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BERLIN (Le Collectif belge)

Visite au 104

Bonus ce samedi 18 janvier : le collectif Berlin, en visite au 104 pour plusieurs spectacles avec musique et vidéo, fête ses dix ans d’existence par une performance : extraits de films et musique de leurs spectacles : Jérusalem, Moscou, Bonanza du cycle Holocène et des images du cycle Horror vacui. Chaman inuit qui danse et bat son tambour, Américains rigolards avec leur bière et leur chien, policiers russes perdus au de nulle part dans la neige, c’est envoûtant et étrange, c’est notre monde. Extrait :

 Performance collectif Berlin 

Category: Mes sorties
Tags: 104, Berlin, café caché, performance
29 décembre 2013 18 h 48 min
1 Comment

Photo avec l’ambassadeur d’Albanie

Domi et l'Ambassadeur

Le 14 décembre, je suis allée chez mon ami Rezart qui est albanais. Quoi de plus naturel alors que de boire à sa santé avec Son Excellence l’Ambassadeur d’Albanie ?

Category: Mes sorties
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