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#restaurant

10 décembre 2017 21 h 33 min
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Chez Habesha, un dîner-voyage éthiopien

Dîner dans un restaurant éthiopien à Paris, waouh !

Niché dans une petite rue du 15ème arrondissement de Paris, ce restaurant éthiopien n’est connu et fréquenté que par les vrais amateurs de cuisine africaine. Et ils sont servis !

Mais parlons d’abord du décor, tout un dépaysement (je commence par la photo que j’ai piquée sur leur page, pas de panique, oui vous aurez le lien) :

Habesha restaurant éthiopien

On s’installe, on commande, et le patron soulève le gros couvercle tressé et pose un plateau richement garni. Les petites tables triangulaires servent à poser verres et bouteille(s).

La carte est à des prix très raisonnables, nous avons goûté le plat « découverte » avec du poulet, de la viande hachée, des lentilles corail, des lentilles, de la salade, un légume super bon, du fromage, un oeuf dur et des aromates succulentes. Adorable, le patron me demande si j’aime la cuisine relevée, je lui réponds que moyennement, il s’arrange pour qu’une partie soit relevée et l’autre sans piment. C’est parfait ! C’est délicieux ! C’est copieux ! On mange avec les mains car ça se présente comme ça :

 

plat éthiopien

 

Je vous rassure, nous étions quatre pour tout ça. Le principe ? C’est posé sur des galettes dont les morceaux nous serviront à attraper viandes et légumes. Le patron m’explique qu’en Ethiopie, ces galettes sont faites avec une farine sans gluten qui s’appelle teff mais ici, le climat n’étant pas le même, ça cuit moins bien, alors il faut rajouter de la farine de blé. Sur la carte, c’est quand même indiqué comme teff, tradition oblige ! Vous me connaissez, je ne résiste pas, la curiosité l’emporte, je pose des tas de questions, le patron m’apporte donc un échantillon de teff dont je vous fais profiter :

teff éthiopien

 

 

Non seulement l’ambiance est très conviviale et chaleureuse, mais tous les convives sont sympas ! J’imagine que ce sont des Ethiopiens, mais au fond je n’en sais rien… Ainsi, nos jeunes voisins boivent un café, servi selon un cérémonial précis, avec de l’encens, et bien sûr je peux prendre la photo :

 

 

 

café éthiopien

 

Nous, nous choisissons de goûter une spécialité locale qui nous intrigue : la boisson fermentée au miel qui s’appelle tedj (oui, ben bien sûr, je me mets à l’éthiopien demain, vous me connaissez !). Rien à voir avec le chouchen breton ou hydromel. Il s’agit ici de miel, houblon et malt. Le patron m’explique qu’en Ethiopie il suffit de faire fermenter du miel avec du houblon et on obtient une boisson assez forte en alcool. Ici, maudit climat encore ! il faut rajouter du malt et les degrés sont moindres au final. En effet, c’est plutôt doux, même si le goût est très agréable :

tedj éthiopien

 

L’ambiance est décidément éthiopienne, avec des clips sympas à la télé et cette écriture incroyable (oui c’est un défi à l’intellect que l’on aurait envie de relever…). Le patron m’explique que là-bas on est en 2009 selon un calendrier particulier : il y a 12 mois de 30 jours et un 13ème de 5 jours chaque année ! Si ça, ça fait pas envie d’y aller !

 

 

 

télé éthiopiennetélé éthiopienne

Pour finir, soyons pratiques : c’est au 19, rue Copreaux dans le 15ème, métro Volontaires. Pour réserver (c’est conseillé) : 09 67 48 09 42 ou 06 84 81 50 99.

On peut aussi s’abonner à la page Facebook, comme je l’ai fait, le lien c’est Habesha bien sûr !

Maintenant, j’ai une furieuse envie d’aller en Ethiopie mai j’hésite : si là-bas ils sont tous aussi beaux et charmants que le patron et ses convives, je risque de ne plus revenir !

Category: Mes sorties
Tags: aromates, éthiopien, miel, Paris, restaurant, tedj, teff
16 mai 2015 21 h 58 min
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Le pousse café – LE spot de Boulogne (92)

Un restaurant-bar super cool dans une ville qui l’est moins

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Dans cette ville bourgeoise où l’on a le choix entre dîner dans un restau un peu classe – nappes blanches et addition salée pour une nourriture assez banale, ou dans un lieu style mexicain ou asiatique très moyen, le pousse café est un lieu chaleureux à la cuisine traditionnelle faite de produits frais en provenance directe du lieu de production : la viande de l’Aubrac est à fondre de plaisir, la planche de charcuterie/fromages est arrivée d’Auvergne le matin même, c’est sûr, il n’y a qu’à goûter le Saint Nectaire et on sait qu’il ne vient pas du supermarché du coin ! Le tout à un prix super abordable avec un petit vin de pays très gouleyant, d’ailleurs voici l’ardoise :

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C’est au 48, rue Danjou, à Boulogne dans les Hauts de Seine, et si on n’y avait pas fêté l’anniversaire de mon amie Eve, habitante du quartier, jamais je n’aurais su qu’un tel lieu existait à quelques mètres du métro Marcel Sembat où la pizzeria avoisine le restaurant japonais…

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La déco est très chouette aussi, style américain kitsch avec un côté années 30 (on n’est pas loin du Musée des années 30) :

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Et tous les 15 jours, un groupe vient jouer de la musique latino, hier c’était le groupe brésilien Mini Bailinho super chouette :

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Alors si on ne dîne pas trop tard, on peut rester boire des coups et écouter la musique sans hésiter à esquisser quelques pas de danse.

 

 

Pour rester en contact avec eux et savoir qui va chanter dans 15 jours, la page Facebook du Pousse café vous dit tout ! C’est ici

Category: Mes sorties
Tags: Auvergne, Boulogne, musique, restaurant
10 mars 2015 21 h 49 min
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Envie de manger coréen ? Oppa ! et voilà !

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C’est au 49, rue de Belleville, dans le 19ème à Paris, au métro Belleville, Oppa, restaurant coréen. Dans un décor naïf qu’on appellerait de style kawaï si on voulait frimer avec du japonais, mais que l’on qualifiera en bons occidentaux de mignon kitsch.

 

 

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Ben oui, j’avais prévenu…

Au service, une jeune fille à la douceur accueillante toute orientale et dans la cuisine, des gars qui ne plaisantent pas avec le bibimbap, ce plat coréen servi dans un bol avec riz, légumes sautés, boeuf ou une autre viande ou végétarien, champignons, que l’on peut agrémenter d’épices tout aussi variées, voire de kimchi, le chou fermenté au piment qui emporte la bouche mais qu’est-ce que c’est bon ! Il y a aussi la fondue coréenne et ses sauces, les nouilles sautées… Nous avons fait sobre, avec riz – poulet frit et sa petite sauce, et riz – boeuf sauté au sésame et citronnelle et ce petit goût délicieux que je n’identifie jamais mais pour lequel je suis prête à traverser tout Paris…

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Les prix sont inversement proportionnels au plaisir gustatif, c’est aussi un argument. Et il y a même une carte de fidélité, au bout de 10 repas servis on t’offre le onzième !

 

 

 

Category: Mes sorties
Tags: Belleville, coréen, Paris, restaurant
24 octobre 2014 14 h 23 min
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La recyclerie, café-restaurant Porte de Clignancourt à Paris

Où vas-tu prendre un verre avec Nina Madeinrécup ? A la recyclerie ! Mais son concept de surconsommation a été récupéré (sans jeu de mots) par des designers qui ont créé un restaurant dans l’ancienne gare de la petite ceinture de Paris à Clignancourt. Pour mémoire, la petite ceinture est la voie de chemin de fer désaffectée (et quel dommage !) qui fait le tour de Paris vers l’intérieur en parallèle avec les Maréchaux – qui sont eux-mêmes les boulevards de ceinture de Paris d’avant le Périphérique et que l’on surnomme ainsi car ils portent tous un nom de Maréchal de la Grande Armée de Napoléon.

Voici à quoi ça ressemble, intérieur – extérieur :

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A l’extérieur, il y a le petit marché bio des fermiers de l’association « La Ruche qui dit oui », un abri pour les chèvres et un poulailler.

 

 

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L’idée c’est de commander au bar et d’aller chercher ton plat au comptoir de la cuisine (oui c’est un ancien meuble de métier), puis de débarrasser ton assiette sale à un autre comptoir où il y a un bac pour récupérer pour les poules la verdure que tu n’as pas mangée.
Mais… vu le plafond très haut, le bruit des conversations résonne et, comme ce n’est pas cher, il y a beaucoup de monde qui arrive pour dîner, alors on ne s’entend plus.

Du coup, nous avons pris le métro pour aller dîner dans un restaurant italien rue Xavier Privat, à Saint-Michel, où d’autres aventures nous attendaient. Les pizzas sont très bonnes, même si le cuisinier est sri-lankais, mais le serveur, à quelques années de la retraite, cherche surtout à donner l’impression aux passants que le restaurant est plein. Il doit d’ailleurs être le beau-frère du patron : même dégaine, même accent italien, même nonchalance méditerranéenne. Nous avons ainsi servi d’appât pendant trois quarts d’heure après avoir mangé nos pizzas, nous voulions voir jusqu’où cela irait mais nous avons fini par appeler le serveur qui, ainsi que le patron, nous a dit qu’il nous avait laissé tranquillement discuter. Du coup, nous avons juste pris un café et, voyant qu’il ne nous était pas offert pour nous récompenser de notre patience, nous avons réussi à négocier un verre de vin.

Il y avait de la bonne musique en fond sonore, Nina tournait le dos à la télé, mais moi je pouvais voir la chaîne polonaise de vidéos hot où, sans le son, des jeunes filles s’agitaient en petite culotte, en alternance avec des femmes accortes trop décolletées et trop maquillées… Grâce aux coupures pub, je sais désormais quelles pastilles pour la gorge je peux acheter si jamais je prends froid un jour en Pologne ! Le service étant fini, le patron et son équipe attendaient notre départ pour dîner en regardant cette fois, et toujours sans le son, une chaîne documentaire sur la vie sauvage où serpents et varans étaient filmés en très gros plan. J’ai dû décaler ma chaise pendant que Nina se pliait de rire.

Pour finir, nous sommes entrées exécuter quelques pas de salsa dans un bar de la même rue qui offrait des cocktails latino-américains avec cette musique. Quelle soirée !

Category: Mes sorties
Tags: recycler, restaurant
16 août 2014 16 h 37 min
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Le restaurant pakistanais KIRN à Paris

Hier nous fêtions le 67ème anniversaire de l’indépendance de l’Inde. Quelle bonne idée d’aller manger dans un restaurant pakistanais et indien ! C’est dans une petite rue au métro Bonne Nouvelle :

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Il y a une carte très riche et aussi des menus à 11, 14, 16, 20 et 30€ avec plusieurs entrées chaudes et froides avec et sans viande, plusieurs plats avec et sans viande et des desserts, dont la semoule maison au lait d’amandes servie chaude. L’apéritif était offert, avec ou sans alcool. Il y a aussi une carte des vins, mais quand tu fais partie de ces Indiens végétariens qui ne boivent pas d’alcool, tu es bien…

Moi j’ai pris un menu avec samoussa aux légumes et petite sauce verte, curry de poulet à la coriandre bien en sauce avec la sauce au yaourt, riz basmati et petits légumes au curcuma trop bons ! Quelle ne fut pas ma surprise quand on me l’apporta ! C’est trop rigolo, tout sur un grand plateau :

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L’accueil est super sympa, on a été chouchouté face à une grande photo du Taj Mahal, je vous recommande chaudement ce restaurant loin des sentiers battus, pour changer !

Category: Mes sorties
Tags: Inde, restaurant
14 juin 2014 19 h 48 min
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La Closerie des Lilas

Un lieu parisien mythique…

Restaurant et brasserie dans le 6ème arrondissement de Paris depuis 1847, La Closerie des Lilas a surtout été rendu célèbre au début du XXème siècle grâce aux intellectuels qui l’ont fréquenté. Les écrivains américains s’y sont retrouvés, Fitzgerald, Hemingway, Miller, les peintres qui habitaient Montparnasse également. Sa carte est traditionnelle et aujourd’hui encore, excellente.

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 L’intérieur est magnifique aussi, banquettes en cuir, chaises « bistrot », ambiance feutrée, pianiste qui joue des  chansons françaises des années 50 et 60 – Piaf, Brel, Gainsbourg… On est un peu hors du temps, les garçons sont  aimables et prévenants…

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… et un mythe familial !

En 1948, le Consulat de Hongrie se trouve au 326, rue Saint-Jacques. Mon père et ma mère travaillent d’arrache-pied, tous les dossiers des ressortissants hongrois en France sont restés en suspens pendant la guerre. Alors le plus souvent, Maman claque des oeufs dans une poêle vite fait, avec quelques champignons, et hop, le boulot reprend. Un beau jour, Papa en a marre de ces déjeuners sur le pouce et décide d’emmener Maman au restaurant le plus proche. Ils ne sont pas encore fiancés, mais déjà amoureux et ce sera l’occasion d’une pause tendre en tête-à-tête. Et oui : ce restau le plus proche, c’est La Closerie des Lilas ! Ils ne sauront que plus tard dans quel célèbre endroit ils sont allés « manger vite fait » !

Pour son anniversaire cette année, Maman nous a invitées, ma cousine et moi, et a expliqué au serveur un peu ébahi qu’elle est venue une première fois il y a… 66 ans ! Et on s’est régalé !

La Closerie des Lilas

Category: Mes sorties
Tags: brasserie, Montparnasse, restaurant
3 avril 2014 21 h 21 min
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Le 104 – Le café caché

Un chiffre… une adresse… un lieu

Le 104 est situé au 104 rue d’Aubervilliers, dans le 19ème arrondissement de Paris, c’est aussi simple que cela ! Les anciennes Pompes funèbres de Paris, d’abord sous l’autorité de l’Eglise à la fin du XIXème siècle, puis sous contrôle municipal après la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat, sont un lieu gigantesque. Il y avait les corbillards, les cercueils et donc les ateliers de menuiserie qui les fabriquaient, et en sous-sol une écurie de 300 chevaux. Puis, après la motorisation, un garage avec des voitures. Dans les bâtiments, des magasins qui vendaient des articles funéraires. En revanche, les locaux n’ont servi de morgue qu’au corps des guerres du XXème siècle : Seconde Guerre mondiale, guerres d’Indochine et d’Algérie où l’on entreposait les corps des rapatriés avant de les confier à leur famille.

Cela donne un espace immense :

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En 2003, la Ville de Paris reconvertit cet endroit en centre culturel, plus exactement un « établissement public à caractère industriel et commercial de coopération culturelle ». Des spectacles de danse et de théâtre y sont organisés, on y voit des expositions et des concerts, des installations y prennent place. Et il y a aussi des artistes en résidence qui passent une année, voire deux sur place et créent une oeuvre ou un spectacle. On a pu ainsi voir le chorégraphe tunisien Redouane Al Meddeb créer sa chorégraphie sur la chanson d’Oum Kalthoum Al Atlal (Les ruines), spectacle magnifique de 35 minutes, le collectif Berlin qui a fait l’objet d’un article ici et bien d’autres encore… On peut voir tout au long de l’année le work in progress ou aussi bien l’oeuvre abouti. Chaque visite au 104 est ainsi une aventure : de la brume s’échappe d’un atelier où l’on ne doit se fier qu’à ses sens en dehors de la vue, des oiseaux pépient dans une installation pour petits mandarins et guitares électriques, nous sommes invités à nous asseoir dans une grosse bulle où tout à coup des milliers de petites bulles en plastique tournoient tout utour sans nous toucher, un micro capte les bruits des mâchoires de termites qui grignotent une souche de bois…

Expositions monumentales

Le lieu se prête tout naturellement à des installations gigantesques, comme l’oeuvre de l’Egyptien Moataz Nasr I am free pour laquelle nous sommes invités à grimper au sommet d’un grand escalier où se trouvent deux ailes d’aigle déployées, évoquant la liberté pas forcément allant de soi dans son pays. Je ne résiste pas, ça donne ça :

I am free

Voici deux sculptures géantes de la rétrospective Keith Haring, the Political Line, merveilleusement mises en espace ici. Le container avec les artefacts de l’artiste a également trouvé sa place dans cette grande cour. Les oeuvres de dimension plus modeste trouvant leur place au Musée d’Art Moderne, les deux expositions se complétaient à merveille :

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Le café caché

Après toutes ces émotions, on peut dîner dans un lieu super sympa : Le café caché « Pour vivre heureux, vivons cachés », un lieu où l’on entre en traversant des grandes bandes de plastique transparent rigide, puis une terrasse un peu fraîche où des familles ou des amis boivent des verres avant un spectacle ou en sortant de l’expo. Les petits enfants courent partout dans ce vaste espace, c’est déjà rigolo. Puis on entre dans le restaurant lui-même, tout décoré en bois, où l’on est accueilli par des jeunes gens chaleureux. On mange un bon hamburger avec des frites maison, on boit un coup de rouge et en dessert, une petite panna cotta aux fruits rouges descend toute seule !  Jugez vous-même :

café caché

Bon j’ai été un peu longue, mais je vous ai montré : le lieu, une installation, une exposition et le restaurant !

Vous ne pourrez plus dire que vous n’avez vraiment pas envie de découvrir cet endroit  !!!

Category: Mes sorties
Tags: 104, exposition, installation, restaurant
6 février 2014 21 h 33 min
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Miss KO

Un restaurant… magique

carte postale Miss Ko

49-51 avenue George V
75008 PARIS

Restaurant chinois ET japonais ET coréen, déjà c’est rare, ces cuisines étant très différentes les unes des autres. Mais gyoza et bo bun font bon ménage avec le kimchi et d’autres plats originaux. L’essentiel n’est pas là ! Dès qu’on entre, on a l’impression d’être dans Blade Runner, le film de Ridley Scott : une ambiance futuriste, avec un décor de Philippe Starck magnifique, un grand écran où défile un morphing de visages asiatiques, une immense théière en papier accrochée au plafond et des écrans vidéo sur la grande table où nous dînons ,avec des chaînes japonaises et chinoises. Un grand dragon rouge passe de gauche à droite et de droite à gauche tous les quarts d’heure. C’est beau, ça bouge, il y a une énergie terrible !

Miss Ko la salle

Minuit chez Miss Ko
je m’extrais de moi-même
Mon regard englobe le Monde.

Mes amis boivent un cocktail improbable avec du litchi et du rhum, je choisis un grand verre de vin argentin d’un rouge sombre, capiteux,  bien charpenté… A 22h, une dj nous passe des morceaux très pointus, du rock et de la pop… Le personnel est super gentil, les plats sont  apportés sur d’immenses plateaux par des jeunes gens à la peau sombre, au corps mince et musclé, aux yeux de biche. C’est chaud et c’est  froid en même temps, je me trouve plongée au coeur de mon univers de prédilection, il me vient soudain un poème, j’observe les trentenaires  débonnaires en goguette un samedi soir, au bar deux d’entre eux discutent avec deux jeunes Anglaises qui hachent leurs syllabes et leurs  sourires.

Miss Ko la table

Category: Mes sorties
Tags: chinois, coréen, japonais, restaurant, vidéo
Réalisé par Stéphane Roche • http://www.stephane-roche.fr