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13 février 2016 22 h 19 min
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Soin du visage : moment de pur bonheur !

Soin, beauté, relaxation : tout en un !

Pour Noël, j’offre un soin à Maman qui a la même idée. Je fais ni une ni deux et prends rendez-vous pour elle et pour moi à l’Institut de Sophie où je fais mes manucures : 85, rue du Ranelagh, 75016 Paris. Allez, je vous donne aussi le téléphone si vous êtes parisiennes ou franciliennes : 01 42 15 09 26. Un décor sympa, un accueil chaleureux, des soins professionnels ! J’y fais des manucures toutes les trois semaines, pour les soins… hmmm je suis moins assidue qu’il ne faudrait… Mais c’est tellement agréable ! Une cabine au sous-sol, loin des bruits de la rue, de la musique classique pour se détendre, une lumière qui passe du rose au vert au blanc pour se relaxer :

Institut de SophieInstitut de Sophie cabine

 

 

 

 

 

 

Sophie commence par nettoyer la peau pour la préparer au soin. Puis elle gomme, hydrate, nourrit et masse pour la détente. Tous les produits sont de Decléor, le masque aux agrumes est juste sublime ! Sophie masse le visage pendant la pose du masque, ce qui détend incroyablement, puis l’émulsionne avec un lait, ce qui le fait passer d’un gel à une consistance plus fluide, sensation incroyable sur la peau. Le cou, le décolleté et le dos ne sont pas en reste, soin impossible à effectuer pour soi-même car on s’en ferait couler partout. De même, alors qu’il est préférable d’appliquer les produits de bas en haut pour lisser le visage, c’est seulement possible quand c’est fait par quelqu’un qui est derrière.

Sérum aux huiles essentielles et crème nourrissante pour finir achèvent ce travail de nettoyage, lissage, hydratation et soin raffermissant. Voilà le résultat :

Institut de Sophie le résultat

 

 

 

 

Nous avons rajeuni de 20 ans, vous ne trouvez pas ?

 

 

 

Soin conseillé une fois par mois, idéal une fois par trimestre et bon… si on n’a pas trop le temps, deux fois par an, allez ça va aussi !

Category: Beauté
Tags: beauté, Decléor, gommage, huiles essentielles, hydratation, lissage, masque, soin, visage
9 février 2016 21 h 31 min
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Et si on parlait un peu du taf ? La radio a son salon !

Le Salon de la Radio 2016

C’était la semaine dernière à la Grande Halle de la Villette et j’y suis allée. Et oui, je n’ai encore jamais parlé de mon taf dans ce blog, alors ce salon réservé aux professionnels, c’est la bonne occasion.

Créé par notre ami Philippe Chapot qui dirige les éditions HF (oui, comme les micros) et qui édite la revue La lettre pro de la Radio, ce salon prend de l’ampleur et accueille aussi bien des professionnels de la technique que des décideurs du milieu.

La lettre pro a son stand :

Le stand de la lettre pro de la Radio

La part du lion revient à la RNT (Radio Numérique Terrestre) qui s’appelle DAB en anglais (Digital Audio Broadcast). La France est en retard sur ce sujet, car nous avions choisi la norme T-DMB au départ, alors que nos voisins avaient choisi le DAB et explorent désormais le DAB+. Qu’est-ce que ça veut dire ? Que si tu sors de France avec une voiture équipée en T-DMB, tu n’entends plus ton autoradio à l’étranger… Finalement, nous adoptons le DAB+ nous aussi, comme en Angleterre et en Allemagne. On a déjà commencé à Paris, Nice et Marseille. On aura de nouveaux récepteurs, on pouvait déjà en voir sur le Salon. Attention, ce n’est pas un design renversant :

Récepteurs de radio numérique

 

 

L’association World DAB était également présente. Bien sûr que l’un de mes collègues nous y représente !

 

 

 

 

Côté technique, des tables de mixage numériques, des enregistreurs connectés pour les reportages… Mais Philippe Chapot pense aussi aux jeunes qui s’intéressent à la radio, alors le STUDEC (Studio Ecole) était là. Et il y avait aussi des ateliers de formation pour ceux qui voulaient profiter du Salon pour s’améliorer et apprendre des choses nouvelles.

IMG_3108Stand du STUDEC

 

 

 

 

 

 

Et puis il y a les tables rondes et les débats. Graham Dixon, qui était à la BBC et qui est récemment devenu le directeur du Département radio à l’UER (Union Européenne de Radio-Télévision), est venu visiter le Salon et faire un discours d’ouverture (keynote) de l’après-midi avec le CSA. Il a dit une chose très jolie, car il croit au média radio et à ses auditeurs, je le cite : « DAB signifie Digital Audio Broadcast, mais on peut dire aussi Delivering Audiences Benefits ». Apporter des bénéfices aux auditeurs, n’est-ce pas pour cela que nous existons ? Cette année, la Belgique était à l’honneur, l’an prochain ce sera le Royaume Uni et Graham s’en est réjoui. Nous le connaissons depuis longtemps car Radio France et la BBC échangent beaucoup. Trois membres du CSA et son président, Olivier Schrameck, sont venus nous parler des fréquences, de l’avenir numérique avec un objectif de couverture totale de la France, et de la filière musicale. C’est formidable que le CSA, notre autorité de régulation, se déplace pour visiter un Salon consacré au média radio !

Voici Graham Dixon à gauche et Olivier Schrameck à droite :

Graham Dixon, UEROlivier Schrameck, Président du CSA

 

 

 

 

 

 

 

 

Et merci à Philippe Chapot pour son enthousiasme et son énergie inépuisable ! Rendez-vous l’année prochaine !

Category: Mes sorties
Tags: CSA, numérique, radio, salon
3 février 2016 22 h 13 min
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Laurent Binet : La septième fonction du langage

Laurent Binet La septième fonction du langage

Un thriller sémiologique et linguistique !

Ce roman sera cryptique, voire un peu difficile, pour tous ceux qui n’ont pas fréquenté les milieux universitaires au début des années 80. Je leur conseillerais de se laisser porter par l’histoire, de faire éventuellement quelques recherches sur les principaux protagonistes, qui ont tous existé et dont certains sont encore en vie. L’auteur rend très vivante l’ambiance de ces années-là et c’est à la fois drôle et instructif.

L’histoire débute avec l’accident de Roland Barthes, renversé par une camionnette à l’issue d’un déjeuner avec Mitterrand en 1980 et qui décède à l’hôpital Cochin quelques temps après. Son portefeuille a disparu, cet accident est suspect, on dépêche donc à son chevet un inspecteur de police, le commissaire Jacques Bayard, qui va très vite s’adjoindre un jeune professeur de Vincennes, Simon Herzog, pour l’enquête. Bayard ne connaît rien à la sémiologie dont Barthes est le grand ponte, ce qui donne lieu à des scènes très cocasses.

Laurent Binet construit alors une histoire rocambolesque centrée sur les six fonctions du langage, convoquant sans vergogne tout le gratin psychanalytico-linguistico-philosophique de l’époque : Foucault, Lacan, Derrida, Althusser et sa femme, Bernard-Henri Lévy (ridiculisé à souhait : incognito, il porte à une soirée une chemise noire !), Todorov, Kristeva (de mèche avec les agents bulgares aux parapluies assassins) et bien sûr Sollers puis, dans un épisode américain saisissant, Jakobson en personne… A Bologne, qui d’autre rencontrent nos enquêteurs si ce n’est Umberto Eco ?

Car il existerait une septième fonction du langage, performative, qui ferait exister une chose nommée, comme par exemple le chevalier adoubé par le Roi le devient sur-le-champ et le « Je te fais chevalier » du Roi crée de fait un chevalier.
Comme l’explique Eco : « Imaginons que la fonction performative ne se limite pas aux quelques cas évoqués. Imaginons une fonction du langage qui permette, de façon beaucoup plus extensive, de convaincre n’importe qui de faire n’importe quoi dans n’importe quelle situation. » « Celui qui aurait la connaissance et la maîtrise d’une telle fonction serait virtuellement le maître du monde. Sa puissance n’aurait aucune limite. Il pourrait se faire élire à toutes les élections, soulever les foules, provoquer des révolutions, séduire toutes les femmes, vendre toutes les sortes de produits imaginables, bâtir des empires, escroquer la terre entière, obtenir tout ce qu’il veut en n’importe quelle circonstance. »
Il faut donc que les deux enquêteurs mettent la main sur toutes les copies qui la décrivent avant que quelqu’un ne s’en empare pour son bénéfice personnel ! En attendant, des hommes meurent, des doigts sont coupés, la gare de Bologne explose, le jeune Simon risque sa vie en quittant l’amphithéâtre où il enseigne dans une sécurité relative, et nous, nous suivons Laurent Binet dans ce suspense haletant et parsemé d’humour, comme nous l’avons suivi à Prague dans son précédent roman, HHhH, paru en 2010 et qui relate l’attentat contre Heydrich en 1942.

Voici donc un deuxième roman tout aussi passionnant, drôle et culotté, paru en 2015. Peut-être devrons-nous attendre un peu avant le troisième, mais qu’à cela ne tienne, nous serons au rendez-vous, M. Binet !

Category: Littérature
Tags: linguistique, roman, sémiologie, thriller
1 février 2016 21 h 41 min
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Truc de ouf : le yokan à la châtaigne !

Kesako ? 

Le yokan est au Japon ce que la tarte aux pommes est à la France, LE dessert de référence. De quoi s’agit-il ? De la pâte de haricots rouges azuki sucrée, gélifiée à l’agar agar. On dirait de la pâte de fruits sans les grains de sucre autour. C’est en forme de parallélépipède rectangle et ça se découpe en petites tranches. On peut y inclure des morceaux de fruits et le plus fin, le must du must, est à la châtaigne, kuriyokan en VO. A Tokyo, il y a des pâtissiers réputés qui te font ça à tomber par terre ! De passage à Paris, mon ami japonais m’en a apporté. Je vous dévoile l’emballage, une fois enlevé le papier cadeau gris pâle :

Une feuille de banane séchée (je pense), avec le prospectus qui décrit toute la gamme de douceurs, et sans :

emballage yokanemballage yokan

 

 

 

 

 

 

 

 

Puis à l’intérieur, juste un carton blanc, dans lequel il y a deux étuis séparés dans une matière qu’on devine écologique :

yokan emballage cartonyokan emballage 3

 

 

 

 

 

 

 

 

Si tu sais lire, on t’explique comment le déballer :-)… Enfin, ça ressemble à ça :

tranches de yokan

 

C’est fin, avec un délicat goût de châtaigne, pas trop sucré, bref, délicieux ! Bien sûr, j’en déguste en écrivant cet article hé hé… Le mien vient de chez Taneya, voici leur site à tout hasard : taneya.jp

 

 

Et si vous voulez en faire à la maison, pourquoi pas ? voici un site qui vous explique comment le réaliser, sur leur page « le goût du Japon/yokan » : sakura-house.com avec un thé c’est délicieux !

Category: Actualité culturelle
Tags: châtaigne, Japon, pâtisserie, yokan
26 janvier 2016 21 h 39 min
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Joyeux anniversaire mon blog, je t’aime !

En ligne depuis 2 ans aujourd’hui !

Je me souviens, c’était un dimanche, j’avais 10 articles rédigés « en local », mon pote faisait défiler des lignes de code comme dans Matrix et je lisais sur le canapé pour dissimuler ma nervosité… Et tout à coup… Tadaaaam ! j’existais sur la Toile ! Champagne ! L’an dernier, j’en ai ouvert une petite bouteille pour fêter ça, cette année, j’allume juste la bougie :

bougie d'anniversaire de 2 ans

 

Allez, petites infos : 193 articles, 800 visiteurs par mois environ dans le monde entier, 7 rubriques, « Beauté » étant la dernière en date, des centaines de photos, des lieux culturels et des expos visités, des musiques découvertes, des livres dévorés, ma double culture décryptée, mes cours d’arabe chroniqués et mes sorties parisiennes détaillées… mais surtout, mes enthousiasmes et mes passions partagés, ma culture transmise, mon dynamisme communiqué à tous chaque semaine !

 

Je mesure le chemin parcouru depuis mes premiers tâtonnements et j’apprécie mon « statut » de blogueuse : j’arrive dans un endroit intéressant, je dis que je suis blogueuse et que je vais écrire un article, aussitôt les langues se délient, on me raconte le lieu, on m’autorise à faire toutes les photos que je veux ! Ou au contraire, je n’avais pas prévu d’écrire un article mais tout à coup, un lieu, une situation, une musique me plaisent ? Alors je prends des photos, je pose des questions, et déjà dans ma tête un angle est choisi, un début d’article s’écrit… Formidable ! j’adore ! Vous aussi j’espère, que je remercie pour votre fidélité au fil des semaines. Des projets pour la nouvelle année qui s’ouvre ? De la musique ! des livres ! des expos ! des voyages ! des sorties ! Et toujours, Domi en pleine forme !!!

Category: Non classé
Tags: anniversaire, blog, deux ans, en ligne
25 janvier 2016 20 h 32 min
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Maquillage pour une quinqua distinguée

Ne surtout pas avoir la main lourde !

Il en est du maquillage comme des vêtements ou des coiffures : la mode évolue. Mais à mon avis, il faut aussi tenir compte de son âge pour discrètement mettre ses atouts en valeur sans vouloir ressembler à une gamine de 20 ans. Autrefois, je mettais du fond de teint, de la poudre libre, du fard à joues, du fard à paupières avec parfois du crayon, du mascara et du rouge à lèvres, ouf ! Bien sûr, le fard à paupières était assorti à mes tenues, vert, bleu ou gris et le crayon contour de l’oeil, pareil. Dans les années 80 en revanche, il était de bon ton d’avoir un teint très pâle, avec des yeux charbonneux et des lèvres rouge vif (d’où le succès du premier rouge de Paloma Picasso, sublime), genre vampire qui ne sort que la nuit ou demoiselle tuberculeuse anorexique (bon, à l’époque j’avais 10 kilos de trop, j’étais plutôt dans le style vampire). Après, on est passé à cette tendance de maquillage « nude » pour contraster forcément, puis on a eu les yeux « smoky » pour tout réaccentuer de couleurs foncées, moi je n’accroche pas car je ne veux pas donner l’impression de deux yeux au beurre noir…

J’ai enregistré une chose dans ma longue expérience : tu mets l’accent soit sur ton regard, soit sur ta bouche, mais pas les deux, c’est trop !

Mes yeux bleus étincelant par eux-mêmes, j’aime bien me faire une bouche gourmande… Et comme mes cheveux sont blond nordique, j’accentue mes sourcils avec la couleur à étaler à la brosse de chez bdb – billion dollar brows – et ouvre mes yeux en prolongeant mes cils de noir grâce au mascara Estée Lauder dont un côté de la brosse est plus long pour allonger. Un teint légèrement coloré, juste pour donner bonne mine, et la touche éclat Yves Saint Laurent sur les zones d’ombre du visage – ailes du nez, menton, cernes – et sur ma ride du lion pour l’atténuer.

brosse à sourcils billion dollar browsfond de teint, mascara et touche éclat

 

 

 

 

 

 

 

J’ai découvert dans mon institut de beauté les produits de maquillage cosmétologique La Bella Donna dont on voit ci-dessus le gros pinceau super doux pour appliquer le fond de teint poudre (boîtier à côté). Ce sont des produits entièrement naturels à base de minéraux qui soignent la peau, après des actes chirurgicaux par exemple, et qui la protègent. Ils sont sans colorants chimiques, sans talc, sans amidon, sans aluminium, sans parfum, sans paraben et sans goudrons ! Outre toutes sortes de fonds de teint et poudres, ils ont des mascaras, des rouges à lèvres, des gloss, des ombres à paupières, eye-liner, crayons pour les yeux et pour les lèvres… Je vous les recommande, voici leur site, La Bella Donna c’est top !

Côté lèvres, j’ai complètement été conquise par les Pur couture d’Yves Saint Laurent dont j’ai plusieurs chouettes couleurs, mais aussi par Envy d’Estée Lauder et aussi son Candy, culte depuis très longtemps, c’est le seul que je rachète à chaque fois depuis 20 ans…

rouges Pur Couture d'Yves Saint Laurentrouges Estée Lauder

 

 

 

 

 

Je garde aussi mon Chanel rouge vif et un Dior brun pour l’automne, tout simple :

rouges Dior et Chanel

 

 

 

 

 

En 2016, je vais me lancer dans l’aventure : rouge à lèvres mat ! Maintenant que j’ai découvert le baume pour les lèvres Rêve de miel de Nuxe, je le mets comme base (oui bon, je n’avais jamais pensé à faire ça…) de mon rouge à lèvres, et ça donne un résultat parfait !

Category: Beauté
Tags: fond de teint, maquillage, mascara, rouge à lèvres
18 janvier 2016 22 h 30 min
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beautea time, rencontre de blogueuses beauté

Ben oui, on ne reste pas chacune assise devant son ordi ?!

On se voit, on se parle « en vrai », on échange de vive voix… Souad nous réunit pour un thé super chaleureux chez Malika qui nous accueille chez elle, blogueuses, lectrices, avides de conseils beauté avisés et de discussions sans complexe autour d’un thé à la rose délicieux et de gâteaux faits maison. Il ne s’agit pas du tout de vendre à tout prix ses produits ou de faire de la pub pour son blog, mais de faire connaissance avec des filles soucieuses de leur beauté et de leur santé.

Décor raffiné :

Beautea time

 

 

Merci pour ta photo, Souad Fejri Gojif !

 

 

Et produits proposés :

produits Sou & You

Savon d’Alep, huile de ricin, de fenugrec, eau de rose – antiseptique naturel, savon à l’huile d’argan, huile de figuier de Barbarie – antirides naturel… proposés par Souad, à retrouver sur son blog Sou&You .

Lucie nous parle de soins du cheveux, masque aux huiles de ricin et fenugrec avant le shampooing pour fortifier le cheveu et accélérer sa pousse. Elle est l’une des 4 blogueuses de pure-beauté jeune fille très dynamique qui sait de quoi elle parle : je vais essayer ses conseils et en reparler ici (bien sûr !).

Je retrouve Meryem, à qui j’avais acheté un mug avec une licorne et dont j’avais parlé dans mon article sur le vide dressing avant Noël, vous vous souvenez sûrement, mais je remets le lien de son blog flashbeaute , toujours aussi souriante et enthousiaste !

Et puis il y a l’adorable Sonia qui achète des tissus au Maroc et en fait des sacs super beaux qu’elle vend sur son site soniaomel.com que je vous invite à visiter.

Et toutes les amies qui sont venues, Wafaa, Ilham, Smahane, Lahmar, Fatima, Mouna, Sofia, Dominique, Iman… et toutes les autres, souriantes, mignonnes, intéressées….

On remet ça les filles !

Category: Mes sorties
Tags: beauté, blogueuses, gâteaux, huiles, savon, soins, thé
14 janvier 2016 23 h 26 min
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Basilique Saint Jean, à Selçuk, en Turquie

Là où l’Evangile est réel…

Sur la Croix, Jésus confie sa mère, la Vierge Marie au « disciple qu’il aimait ». Il s’agit de Jean, le plus jeune de ses disciples. Selon la tradition, il aurait écrit l’un des évangiles et l’Apocalypse (le Livre des Révélations). Près du site actuel d’Ephèse, on trouve en effet une petite chapelle construite sur les fondations d’une maison du 1er siècle, où Maryam aurait habité, disent les habitants. J’en ai parlé ici en rentrant de Turquie. La ville d’Ephèse a changé plusieurs fois de lieu, en fonction entre autres de l’éloignement de la mer. Or nous savons que Saint Jean et Saint Paul y ont prêché, dans le théâtre antique, les marchands s’étant révoltés contre eux car, prêchant un dieu unique, ils détournaient les visiteurs des ex-voto sculptés à déposer dans le temple d’Artémis et ceux qui se trouvaient dans la ville.

Saint Jean a donc été enterré à l’ancienne Ephèse, aujourd’hui Selçuk près du site antique. Une première église a été construite au-dessus de sa tombe au 4ème siècle mais, grand lieu de pèlerinage, elle ne pouvait contenir tous les fidèles, ainsi au 6ème siècle l’Empereur Justinien a financé la construction d’une immense basilique – 130m de long sur 65m de large – avec pas moins de six coupoles, sur la colline d’Ayasoluk près des fortifications byzantino-turques. Il n’en reste aujourd’hui que des ruines, mais quelles ruines !

On entre par la « Porte des Persécutions », appelée ainsi par les chrétiens qui croyaient que les fresques représentaient le martyr de Saint Paul :

Porte des Persécutions, basilique St Jean, Selçuk

 

L’édifice est en briques, à l’exception des piliers qui soutenaient les coupoles, en marbre. Il est en forme de croix, car l’Evangéliste avait souhaité être enterré dans un édifice cruciforme.

 

 

Basilique Saint Jean, SelçukBasilique Saint Jean, Selçuk

 

 

 

 

 

 

On accédait autrefois à la tombe par un petit escalier sous l’autel, elle est désormais à ciel ouvert. Mais elle est vide, les ossements de Saint Jean ayant été emportés dans différentes églises de Constantinople, précieuses reliques. Qu’importe ! L’Esprit de l’Evangéliste se trouve toujours là, on le sent tout autour de son tombeau où il règne une atmosphère de sérénité très particulière. On n’est pas là comme devant n’importe quelle dalle de pierre… La prière nous vient naturellement aux lèvres, louange à Dieu d’avoir le privilège de nous tenir ainsi, mains jointes, dans ce lieu qui, il y a si longtemps, a vu se tenir un homme à la spiritualité aussi accomplie. Jugez vous-mêmes :

tombe de Saint Jean, Selçuktombe de Saint Jean, Selçuk

 

 

 

 

 

 

Et encore :

P1040241tombe de Saint Jean, Selçuk

 

 

 

 

 

 

On est parfois ému dans un lieu historique car on sait que tel ou tel personnage y a habité, ou que tel ou tel événement important s’y est déroulé. On est impressionné par des ruines très anciennes car seules elles témoignent d’un passé glorieux disparu à jamais. Mais là, il s’agit d’autre chose : un Souffle passe et nous effleure, une autre dimension nous est ouverte…

Selçuk, autrefois Ephèse byzantine et romaine, un musée très riche en statues grecques et romaines et une belle région à découvrir, près d’Izmir, l’ancienne Smyrne des Grecs, sur la côte Sud de la Turquie, nous offre aussi ces lieux de recueillement…

Category: Voyages
Tags: basilique, évangéliste, Justinien, Saint Jean, Selçuk, tombe, Turquie
11 janvier 2016 20 h 42 min
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Bye bye David Bowie… and part of my youth!

Titre anglais en hommage à un immense talent qui s’est éteint

Bien sûr, quand on commence sa carrière dans les années soixante et qu’on tire sa révérence après avoir offert au monde un dernier album en 2016, on peut dire qu’on a eu une vie bien remplie ! Bowie était un créateur inlassable, inclassable, un novateur, dans une forme d’art total qui l’impliquait tout entier : maquillage, vêtements, styles de musique, surnoms… cet Anglais excentrique qui ose tout, comme on en croise encore à Londres. Un peu comme Brian Eno avec qui il a beaucoup échangé, Bowie restera cet homme caméléon qu’on gardera tous en mémoire, guettant ses nouveaux albums même lorsqu’il se tait parfois. Rock, pop, glam rock (Mon Dieu, quelle époque !), rock expérimental, post-punk, de Ziggy Stardust et Aladdin Sane au Thin White Duke, Mr Bowie is a master! Il était vraiment L’homme qui vient d’ailleurs comme dans ce film de 1976 de Nicholas Roeg où il incarne un extraterrestre venu chercher de l’eau sur Terre.

Quel courage enfin, d’avoir réalisé cet ultime album dont un clip, Lazarus, a été mis en ligne il y a 4 jours et où il incarne un homme au seuil de la mort, avec cette séquence incroyable où, en combinaison moulante qui rappelle sa période glam, il se trémousse avant de se prendre la tête dans les mains et de disparaître dans un placard (une allusion au placard de Narnia qui mène vers un autre monde ?).

Voici ce clip, suivi d’un extrait de ce qui pour moi demeure un choc esthétique éternel, son album Low, le premier de sa trilogie berlinoise. Heroes a suivi, tout aussi invraisemblable. A cette même époque, il produit Iggy Pop qui sombrait à la fin des Stooges et le remet en selle : Mr Bowie is a gentleman!

Category: My Playlist, Non classé
Tags: anglais, David Bowie, glam rock, musique, pop
9 janvier 2016 22 h 55 min
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Yahia Lababidi, Egyptien, Américain, mais poète avant tout !

Yahia lababidi

 

 

Né au Caire il y a un peu plus de quarante ans, Yahia Lababidi vit à Washington. Je ne sais plus par quel biais nous sommes devenus amis sur Facebook, mais je lis ses posts avec délice depuis. Il cite volontiers Rumi, s’intéresse aussi à Confucius et à Nietzsche (entre aphoristes on se comprend). L’Egypte aussi reste présente, mais il a adopté les formes elliptiques de l’anglais de façon remarquable pour continuer une oeuvre commencée il y a plus de vingt ans.

 

Je viens de finir Barely there, un recueil de poèmes où effectivement le poète est à peine présent car en allé dans une quête ontologique, un ailleurs où le silence tient toute sa place, loin de l’agitation stérile du monde extérieur, là où l’on respire un air mystique profondément serein et qui nous interpelle dans notre humanité. Quelques exemples :

A Metaphor

Where ocean and shore greet,
a metaphor,
for where Spirit and body meet.

SPOKESPERSONS 

The privilege
and fiendish challenge
of trying to be
one of Silence’s
trusted spokespersons.

Options

You can’t bury pain
and not expect it
to grow roots.
But you can try
and tend tenderly
to its subtle fruits.

Surrogates

Denied the balancing hand
of sane and loving parents
he ransacked libraries and worlds
emotionally, for a mother
intellectually, a father.

Lovers

What is a mystic
but one who swoons,
defenseless in the face of Beauty.

De nombreuses publications dans des revues littéraires, deux recueils de poèmes, un essai, un recueil d’interviews, un recueil d’aphorismes où Yahia est le seul auteur arabe et, à paraître au printemps 2016, un recueil d’anciens et nouveaux poèmes, Balancing act, new and selected Poems, aux éditions Press 53.

Cette poésie de l’ellipse se retrouve bien évidemment dans ses aphorismes, où Yahia Lababidi traite de l’écriture, mais aussi de spiritualité, de relations humaines, de tout ce qui fait la vie en somme. Après Rabelais, Montaigne, La Rochefoucauld, La Bruyère, Oscar Wilde, Cioran et bien sûr les philosophes comme Wittgenstein, Schelling, Schopenhauer entre autres, cela m’a surprise que mes contemporains apprécient encore ce genre d’écriture. De quoi s’agit-il ? Le Larousse nous dit que c’est le résumé d’une vérité fondamentale, l’énoncé succinct d’une vérité banale. Ailleurs on lit que c’est « une proposition résumant l’essentiel d’une théorie, d’une doctrine, d’une question scientifique,… » Qui d’autre qu’un poète, de langue maternelle arabe favorable à cet art de l’ellipse, peut y exceller ? Quelques exemples :

Unlike prose, poetry can keep its secrets.

The heart is patient with the mind because it knows better.

There are many ways to donate blood, writing is one.

Spiritual fast food leads to spiritual indigestion.

To write is to bow is to pray.

Généreux, il partage des lectures de poèmes d’autres auteurs, des citations de Rumi, des photos… Il est présent sur Facebook, Twitter et LinkedIn et, comme son large sourire le laisse deviner, il aime communiquer ! Alors lisez-le et dites-le lui, ça nous fera plaisir pendant que ça vous enrichira en nouvelles pistes de réflexion !

Category: Littérature
Tags: aphorismes, ellipse, poèmes, recueils, Yahia Lababidi
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