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#poèmes

12 février 2017 21 h 38 min
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Buson, peintre et poète, le raffinement japonais

Je ne vais pas vous ennuyer ce soir avec un historique de la littérature japonaise (même si, un jour, je parlerai ici d’autre chose que de poésie), mais juste vous parler d’un poète que j’aime beaucoup et que je vous encourage à lire : Buson et de son recueil publié chez Moundarren, Le parfum de la Lune. Si la poésie chinoise et japonaise vous intéresse, je vous recommande d’ailleurs cette maison d’édition.

Buson, le parfum de la lune

Né dans un petit village en 1716, Buson part à Edo (Tokyo) à l’âge de vingt ans et devient le disciple de Soa qui en a soixante et a été le disciple des disciples les plus connus de Bashô. En effet, les poètes en herbe se regroupent autour de maîtres et apprennent leur art auprès d’eux. Puis Buson voyage, reprenant entre autres le chemin d’Oku dans le Nord, là où Bashô a composé son célèbre La sente étroite du bout du monde dont le titre a changé je crois mais c’est toujours d’un sentier étroit dans le nord dont il s’agit. Au Japon, copier est un honneur et imiter est un art. Les poètes se rendant à des endroits fréquentés par d’autres qui y ont écrit un poème se doivent d’en écrire également un dans lequel ils citent un mot ou un morceau de vers de l’illustre prédécesseur en hommage. Buson fera mieux, car à l’issue de ses pérégrinations, s’installant à Kyoto cette fois, il rencontre des peintres et s’initie à cet art. Il illustre alors l’oeuvre de Bashô, dont un exemple figure dans le recueil de poèmes que je viens de lire :

Illustration de Buson

 

Il en sera ainsi jusqu’à sa mort : il écrit des recueils de poèmes, publie des albums de peinture. De jeunes poètes se sont joints à lui car il a accepté de créer son école. Bashô restera son grand maître mais plus tard, faisant revivre le haiku que l’on disait défunt à la fin du dix-neuvième siècle, Masaoka Shiki contribuera à faire apprécier de nouveau Buson et à le faire reconnaître comme l’un des grands maîtres du haiku, comme je l’indiquais dans mon article sur les pivoines ici, où je citais un poème de Buson d’ailleurs.

Dans ce recueil, les poèmes sont classés par saison, comme c’était souvent le cas dans les anthologies poétiques, depuis les tout débuts du waka. La saison est parfois citée, mais parfois c’est une fleur, une allusion à la météo – brise au printemps, bise et neige en hiver par exemple. L’éditeur a choisi de nous offrir deux poèmes par page, avec la version japonaise. C’est très agréable à lire, comme le montrent ces deux exemples : printemps avec la pivoine et automne avec le chrysanthème :

Buson la pivoineBuson, l'automne

Que de raffinement ! Trois vers, et l’expression d’un sentiment, la description d’une atmosphère à travers celle d’un objet… On a souvent associé haiku et bouddhisme zen car le poème évoque l’impermanence des choses et exprime un phénomène fulgurant renvoyant au Vide de la « Réalité telle qu’elle est ». C’est en tout cas un genre littéraire encore très prisé aujourd’hui au Japon et qui a de nombreux amateurs en Occident. Je n’en ai écrit que trois moi-même mais je les aime bien. Bon d’accord, je vous en offre un, mais ne vous moquez pas, promis ?!

Sur l’étal du marchand
La chair verte d’un avocat pelé
Mon coeur à vif

Je vous renvoie aux anthologies traduites pour goûter au vrai style, et aussi aux auteurs traduits, chez Moundarren notamment (bon, ils ont choisi celui de Shiki intitulé Le mangeur de kakis qui aime les haikus, sans doute pour attirer le lecteur, mais c’est un beau recueil).

Bonne lecture !

Category: Littérature
Tags: Bashô, Buson, haiku, Japon, peintures, poèmes, recueil, Shiki
27 juin 2016 19 h 37 min
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Pivoines : fleurs de la saison, poèmes, motifs stylisés…

Superbe fleur du mois de mai, du blanc au rouge en passant par le rose pâle et le rose franc, la pivoine était connue dans l’Antiquité pour ses vertus curatives. Parfois on en coupait la racine en tranches pour nettoyer le foie ou soigner l’épilepsie, car elle est antispasmodique. La légende parle de la nymphe qui a rougi de honte et hop ! l’expression « rouge comme une pivoine » était brevetée. Symbole de timidité en Occident, en Chine elle représentait la fécondité. Fermée comme le poing lorsqu’elle est en bouton, elle déploie ses pétales quasiment d’un coup, parfois en une journée et au bout d’une semaine. Alors nous voici récompensés par un parfum suave et envoûtant, des couleurs raffinées, un bouquet enchanteur dans un vase même tout simple.

Je les préfère rouges, mais les achète de toutes les couleurs car elles sont toutes somptueuses :

Pivoines ferméespivoines ouvertes

 

Les rouges m’ont éblouies et ont perdu tous leurs pétales en deux jours, je n’ai pu m’empêcher de les conserver encore quelques jours pour leur parfum :

 

 

pivoines rougespétales de pivoines

 

Une seule est restée ouverte, alors je me suis souvenue de mes études de japonais et je l’ai mise en valeur dans un vase, solitaire, mais faute de tokonoma, l’alcôve où une estampe ou une fleur uniques sont mises en valeur, je l’ai posée sur ma table de salon :

 

1 pivoine rouge

 

Car en effet, comment ne pas penser aux esthètes japonais, aux poètes notamment, qui ont célébré la pivoine dans leurs haikus ! Et en particulier à Masaoka Shiki, dont c’était la fleur préférée, qui la contemplait depuis son lit d’invalide et composait des poèmes à son sujet… Quel triste destin : tuberculeux, mort à trente-cinq ans en 1902, fils de samourai né en même temps que l’ère Meiji qui a vu le Japon se rouvrir au monde extérieur, Shiki a totalement renouvelé le genre que l’on disait moribond, tout en rendant hommage à ses prédécesseurs, surtout Basho bien sûr, mais aussi Buson qu’il a sorti de l’oubli.

Un jour peut-être, vous aurez droit à un article sur la poésie japonaise, mais pour l’instant, mettons la pivoine en vedette :

Soir sur la fleur
de la pivoine blanche
qui étreint la lune.

Gyôdai

Pivoine qui fane
l’un sur l’autre se déposent
deux, trois pétales.

Buson

Du coeur de la pivoine
l’abeille sort
avec quel regret !

Basho

Et enfin Shiki :
Pourquoi ne pas mourir
en mordant dans une pomme
face aux pivoines.

Obscurité de l’alcôve
où se trouvent les pivoines ;
un coucou chante.

La fraîcheur et les couleurs vibrantes des pivoines rappellent à Shiki qu’il va mourir, le corps couvert de pus (sa tuberculose atteignit ses os) et les gencives en sang, du même rouge que les fleurs. Fiévreux, il contemple cette beauté et son sommeil se peuple de rêves inquiets (je cite en anglais, c’est trop beau, dans la biographie écrite par Janine Beichman) :

how like a lovely
young girl it is,
this peony of scarlet red
whose shadow shades
my fitful dreaming.

Et pour terminer sur une note plus gaie, la pivoine a aussi été un motif favori des peintres et des artisans décorateurs. Pour preuve, elle figure en vedette sur le service en porcelaine de Herend appelé Victoria car réalisé pour la Reine d’Angleterre à la fin du XIXème siècle. En voici une illustration :

Motif Victoria de Herend

 

 

 

 

 

 

 

 

Profitez vite des vraies, c’est presque la fin de la saison !

Category: Actualité culturelle
Tags: fleurs, haikus, pivoines, poèmes, porcelaine
9 janvier 2016 22 h 55 min
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Yahia Lababidi, Egyptien, Américain, mais poète avant tout !

Yahia lababidi

 

 

Né au Caire il y a un peu plus de quarante ans, Yahia Lababidi vit à Washington. Je ne sais plus par quel biais nous sommes devenus amis sur Facebook, mais je lis ses posts avec délice depuis. Il cite volontiers Rumi, s’intéresse aussi à Confucius et à Nietzsche (entre aphoristes on se comprend). L’Egypte aussi reste présente, mais il a adopté les formes elliptiques de l’anglais de façon remarquable pour continuer une oeuvre commencée il y a plus de vingt ans.

 

Je viens de finir Barely there, un recueil de poèmes où effectivement le poète est à peine présent car en allé dans une quête ontologique, un ailleurs où le silence tient toute sa place, loin de l’agitation stérile du monde extérieur, là où l’on respire un air mystique profondément serein et qui nous interpelle dans notre humanité. Quelques exemples :

A Metaphor

Where ocean and shore greet,
a metaphor,
for where Spirit and body meet.

SPOKESPERSONS 

The privilege
and fiendish challenge
of trying to be
one of Silence’s
trusted spokespersons.

Options

You can’t bury pain
and not expect it
to grow roots.
But you can try
and tend tenderly
to its subtle fruits.

Surrogates

Denied the balancing hand
of sane and loving parents
he ransacked libraries and worlds
emotionally, for a mother
intellectually, a father.

Lovers

What is a mystic
but one who swoons,
defenseless in the face of Beauty.

De nombreuses publications dans des revues littéraires, deux recueils de poèmes, un essai, un recueil d’interviews, un recueil d’aphorismes où Yahia est le seul auteur arabe et, à paraître au printemps 2016, un recueil d’anciens et nouveaux poèmes, Balancing act, new and selected Poems, aux éditions Press 53.

Cette poésie de l’ellipse se retrouve bien évidemment dans ses aphorismes, où Yahia Lababidi traite de l’écriture, mais aussi de spiritualité, de relations humaines, de tout ce qui fait la vie en somme. Après Rabelais, Montaigne, La Rochefoucauld, La Bruyère, Oscar Wilde, Cioran et bien sûr les philosophes comme Wittgenstein, Schelling, Schopenhauer entre autres, cela m’a surprise que mes contemporains apprécient encore ce genre d’écriture. De quoi s’agit-il ? Le Larousse nous dit que c’est le résumé d’une vérité fondamentale, l’énoncé succinct d’une vérité banale. Ailleurs on lit que c’est « une proposition résumant l’essentiel d’une théorie, d’une doctrine, d’une question scientifique,… » Qui d’autre qu’un poète, de langue maternelle arabe favorable à cet art de l’ellipse, peut y exceller ? Quelques exemples :

Unlike prose, poetry can keep its secrets.

The heart is patient with the mind because it knows better.

There are many ways to donate blood, writing is one.

Spiritual fast food leads to spiritual indigestion.

To write is to bow is to pray.

Généreux, il partage des lectures de poèmes d’autres auteurs, des citations de Rumi, des photos… Il est présent sur Facebook, Twitter et LinkedIn et, comme son large sourire le laisse deviner, il aime communiquer ! Alors lisez-le et dites-le lui, ça nous fera plaisir pendant que ça vous enrichira en nouvelles pistes de réflexion !

Category: Littérature
Tags: aphorismes, ellipse, poèmes, recueils, Yahia Lababidi
22 juin 2015 21 h 42 min
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City Lights Books – la maison d’édition et la librairie

Le 60ème anniversaire !

Le poète américain Lawrence Ferlinghetti, né en 1919 et toujours en vie, a fréquenté ceux qu’on a appelé la Beat Generation dans les années 50. En 1955, il fonde une librairie à San Francisco, City Lights Bookstore et aussi une maison d’édition. Bien sûr, il publie ses amis, Ginsberg, Kerouac, Corso, Levertov, di Prima, Orlovsky, etc. mais il s’efforce aussi de faire connaître des poètes du monde entier, hors des sentiers battus, révoltés, novateurs, traduits parfois du français (Prévert), de l’italien (Pasolini), du russe (Evtouchenko et Maïakovski), de l’espagnol (Guillén, Cortázar, Neruda, Garcia Lorca) ou de l’allemand (Celan, Grass, Enzensberger), bref, non pas forcément une avant-garde poétique, mais une exploration de l’inconnu à l’international.

Ferlinghetti crée une série de petits recueils de poche qui s’intitule justement The Pocket Poets series où certains voient leurs poèmes édités pour la première fois avant d’être largement diffusés par de grandes maisons d’édition. Au moment de ce 60ème anniversaire, City Lights Books vient d’éditer une anthologie qui reprend quelques textes de chacun des 60 petits volumes et retrace ainsi le chemin parcouru. Il y figure tout ce que les Etats-Unis ont produit de plus innovant et prestigieux depuis 60 ans et aussi la crème de la crème d’Amérique latine et d’Europe. Dans son introduction au volume, Ferlinghetti explique que les manquants lui ont été « piqués » par d’autres éditeurs ou qu’il les a « loupés », ça arrive…

Abonnée à leur page Facebook City Lights Books j’ai su que cette anthologie était en préparation. Mieux : renvoyée vers leur site City Lights Books j’ai pu laisser mon adresse mail pour être prévenue de la sortie du livre. Ce qui fut fait il y a 10 jours, alors je l’ai commandé et je l’ai reçu aujourd’hui !

photo (27)

 

Je sais que je vais me régaler en relisant des poètes que j’adore, comme Franck O’Hara ou Allen Ginsberg, ou… non je ne peux pas tous les citer ! mais je vais aussi découvrir ou explorer davantage des oeuvres que je connais moins ou pas du tout.
Je trouve cette idée d’anthologie merveilleuse pour un anniversaire, et une belle preuve d’amitié de la part d’un homme de 96 ans pour ses amis disparus. Et, ainsi qu’il l’écrit dans la conclusion à sa préface : « Que notre petit programme d’échange culturel puisse continuer ainsi au XXIème siècle dans un monde sans cloisons dans lequel la poésie est encore la meilleure nouvelle. » (C’est moi qui traduis). Et, à propos de traduction, on peut trouver en français les poèmes de Kerouac, Ginsberg, Snyder et des anthologies des poètes de cette génération si particulière traduits entre autres par les excellentissimes Brice Matthieussent et Philippe Garnier.

Alors voilà la recommandation littéraire de Domi aujourd’hui !

Category: Littérature
Tags: anniversaire, City Lights, édition, Ferlinghetti, librairie, poèmes
14 mai 2015 21 h 58 min
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Bear Touches Moon – ami, poète, homme de pouvoir

Ours Touche la Lune, un beau nom amérindien

Il se dit 3/4 Allemand, un million et 1/4 Lakota, mais il est 4/4 humain, généreux, plein d’amour pour son prochain. Mike, de son nom « occidental », est hyper connecté mais pas comme nous, avec la wi fi, smartphone, tablette, etc. Il est en permanence relié aux forces de la nature, aux quatre éléments, aux étoiles, aux astres et puise son immense énergie dans le cosmos en direct.

Le voici en majesté dans son trône de pierre :

Bear Touches Moon

 

 

 

Car oui, les pierres, il y puise ses forces, grâce à la méditation et aux prières héritées de ses ancêtres. Tous les symboles de ce peuple des origines de l’humanité lui sont familiers et il s’en sert avec leur connaissance et leur sagesse, comme de ce cristal de roche superbe :

 

 

cristal de Bear

Mais ce qui m’a touchée depuis que nous communiquons sur Facebook, ce sont ses poèmes, quelques lignes qui se terminent à chaque fois par « Bear touches Moon… danse… » et il reprend l’élément essentiel du poème. J’en ai traduit pour vous, et je vais aussi en reproduire un tel qu’il nous arrive comme un boulet de canon qui nous galvanise d’énergie positive et d’amour :

JE SUIS NÉ SUR LA TERRE ET J’AIME COMME TOUT POUSSE
JE SUIS NÉ DU FEU REGARDE EN MOI ET VOIS COMME IL BRILLE
JE SUIS NÉ VENT ET MON ÂME CHANTE COMME IL SOUFFLE
JE SUIS NÉ DANS L’EAU ET JE POSSÈDE LA VIE TANT QU’ELLE COULE
JE SUIS NÉ AVEC UN ESPRIT ET MON COEUR EN PERMANENCE SAIT
QUE JE SUIS NÉ POUR L’AMOUR ET CELA SE VOIT CLAIREMENT DANS MES YEUX
…………………………………………………………..
……BEAR… TOUCHES MOON… DANSE AVEC TOUT CE QUI EST….

 

QUAND VOUS VOUS TENEZ DEBOUT EN SOLITAIRE LES YEUX PERDUS DNS LA MER COSMIQUE
VOUS POUVEZ VOIR VOTRE PROPRE REFLET DANS LES CIEUX D’ÉTERNITÉ ILLUMINÉS D’ÉTOILES
ET QUAND VOUS TROUVEZ LA CONSTELLATION QUI VOUS LIBÈRE POUR DE BON
VOUS POUVEZ VOIR LE VISAGE DE VOTRE CRÉATEUR DANS LE VÔTRE À LA PERFECTION
……………………………………………………………………………..
……. BEAR… TOUCHES MOON… DANSE
….. SOUS SA PROPRE CONSTELLATION….

Car oui, Mike écrit en majuscule, comme une clameur lancée vers le cosmos… Voici celui en version originale pour vous faire sentir la pulsation de vie qui imprègne ses écrits :

DANCES THE BEAR WITH POWER AND DANCES THE BEAR WITH THUNDER
DANCES THE BEAR LIKE HES JUST CRAZY OR SOME SPELL THAT HE IS UNDER
DANCES THE BEAR WITH BEAUTY AND DANCES THE BEAR WITH GRACE
DANCES THE BEAR LIKE NO ONE IS WATCHING WITH A STRANGE LOOK ON HIS FACE
DANCES THE BEAR WITH LAUGHTER AND DANCES THE BEAR WITH LOVE
DANCES THE BEAR LIKE HE IS THE UNIVERSE AND IT FITS HIM LIKE A GLOVE
………………………………………………………………………
……..BEAR… TOUCHES MOON… DANCES……
…….WITH THE CRAZY STRANGE UNIVERSE……..

Mike – Bear Touches Moon – nous reconnecte à ce que nous avons oublié, le lien qui nous unit tous, l’énergie vitale naturelle qui nous traverse tous, le respect des êtres vivants et la communication avec l’au-delà. Certains de ses textes racontent l’autre monde dans lequel voyage son esprit, et il nous emmène à sa suite. Comme il publie ses posts en public, vous pouvez les retrouver sur Facebook ici

Category: Littérature
Tags: amérindien, lune, ours, pierres, poèmes, pouvoir
Réalisé par Stéphane Roche • http://www.stephane-roche.fr