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#institut du monde arabe

28 octobre 2015 20 h 55 min
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Osiris, mystères engloutis d’Egypte

Exposition à l’IMA, à Paris, jusqu’au 31 janvier 2016

Courez-y, c’est remarquable ! Si vous n’habitez pas Paris, prenez des billets et venez ! Je suis rarement aussi enthousiaste mais là, vraiment, je n’ai pas de mots assez forts pour décrire l’effet incroyable de ces objets vénérables arrachés à la mer et mis en scène dans une scénographie originale et frappante !

De quoi s’agit-il ?

Franck Goddio, Président de l’institut européen d’archéologie sous-marine, a commencé à s’intéresser à ce domaine particulier des fouilles dans les années 1983-84. Mais alors, même si des objets étaient déjà exposés au musée d’Alexandrie, les moyens techniques de l’époque ne permettaient pas de sonder les fonds sous-marins. Il a donc fallu attendre le début des années 90 pour vérifier qu’il y avait bien les vestiges de villes englouties. Il s’agissait, d’après les textes anciens, de Thônis, Héracléion et Canope, situées au nord de l’actuelle Alexandrie, dans la baie d’Aboukir. Or, une étude plus poussée des textes anciens a permis de comprendre que Thônis et Héracléion étaient une seule et même ville, avec un nom égyptien et un nom grec ! Il ne restait plus qu’à plonger, littéralement, dans l’histoire de ces deux villes, reliées par une cérémonie rituelle…

l'archéologue-plongeur, Egypte

 

 

 

 

 

 

La légende d’Osiris

Jaloux, le frère d’Osiris, Seth, l’a tué et démembré en 14 morceaux qu’il a jetés dans le Nil. Isis, sa soeur et amante, les a retrouvés et reconstitués. On dit que c’est elle qui a inventé le processus de momification ainsi. Ils ont eu un fils, Horus, qui s’est battu contre son oncle pour venger son père. Ainsi, par sa mort et sa résurrection, Osiris représente la fécondité des terres qui meurent mais renaissent au printemps, apportant les nouvelles récoltes. Ses humeurs de cadavre, assimilées à l’eau du fleuve, donnent la vie.

Chaque année, une statuette d’Osiris faite d’argile du fleuve, de grains d’orge, d’épices et d’aromates, était mise dans une cuve, sorte de « baignoire » où elle était arrosée d’eau du Nil à l’aide de louches sacrées pendant 14 jours (le temps exacte d’une lunaison entre le premier quartier et la pleine lune). Lorsque ces graines germaient, on enterrait provisoirement le dieu, déterrant celui de l’année précédente à qui le peuple et les prêtres donnaient une sépulture définitive. Mais avant, une procession en bateau emmenait le dieu d’Héracléion à Canope, à l’Ouest, sur des canaux. Les objets de culte, louches, bassins et statuettes retrouvées sous la mer par Franck Goddio portent témoignage de ces rites.
Très riche, l’exposition nous en montre, avec des vidéos pour que nous voyions comment ils ont été extraits d’une couche de sédiments. Nous passons de salle en salle dans une pénombre sous-marine, l’eau clapote en vidéo et aussi dans nos oreilles…

Voici une statue de reine représentée en Isis :

statue de reine en Isis

 

 

 

 

Un buste de dieu mis en valeur par l’éclairage :

 

 

 

buste de Dieu, exposition Osiris

 

 

 

 

 

 

 

 

La dernière partie de l’exposition met en regard ces objets avec ceux des musées d’Alexandrie et du Caire, sortis d’Egypte pour la première fois, comme cette remarquable statue de la déesse Thouéris qui date de la XXVIème dynastie (664-610) avec ses mamelles symboles de fertilité :

la déesse Thouéris, Musée du Caire

 

 

Et pour finir en apothéose, la statue colossale de Hâpy, dieu associé à la crue du Nil, symbole de fertilité lui aussi, avec sa table d’offrandes symboliques sur laquelle on versait de l’eau pour « activer » le symbole de façon magique et le rendre réel. Lui aussi a été trouvé au fond de la mer, il nous accueille à l’entrée de l’exposition mais le photographier depuis l’étage au-dessus lui confère toute sa majesté :

 

statue colossale de Hâpy

 

L’exposition est très didactique et nous apprend tout, non seulement sur l’archéologie sous-marine et les légendes égyptiennes, mais aussi sur les influences grecques et romaines sur les croyances des peuples du Nil : les Ptolémées ont poursuivi le culte, et parfois l’histoire de Jésus lui-même, qui meurt et ressuscite, peut être comparée à celle d’Osiris…

 

 

Tous les renseignements sur le site de l’IMA, à la page de l’exposition que voici.

Attirée par l’égyptologie depuis 1967, où mon père m’a emmenée à l’exposition Toutankhamon au Grand Palais, je me suis régalée et je suis curieuse de voir si Osiris vous enchante comme moi, n’hésitez pas à me laisser vos commentaires !

Category: Actualité culturelle
Tags: archéologie sous-marine, Egypte, exposition, institut du monde arabe, osiris
24 septembre 2015 21 h 27 min
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Echos de Palestine 2015

La soirée à l’Institut du Monde Arabe

C’était la semaine dernière, le désormais traditionnel rendez-vous de l’association, peut-être vous souvenez-vous de mon article de l’an dernier sur le sujet ? Rappel  : chaque année, l’écrivain Yanne Dimay parcourt la Palestine pour animer des ateliers d’écriture dans les départements de français des 4 grandes universités palestiniennes : Gaza, Naplouse, Hebron, Bir Zeit. Elle organise un concours de nouvelles et un jury en choisit 15 qui seront publiées dans un petit volume Echos de Palestine aux éditions du Littéraire. Les trois premiers lauréats se voient offrir un séjour d’une semaine à Paris avec visites touristiques et peuvent ainsi être présents à la soirée organisée pour eux tous à l’Institut du Monde arabe. Deux jeunes comédiens de la compagnie de la Feuille d’Or lisent les textes. Une adaptation théâtrale mise en scène par Dany Toubiana est en projet, renseignements sur le site de la Feuille d’Or.

Yanne Dimay présente la soirée :

Yanne Dimay, IMA

 

 

 

 

 

 

Puis les comédiens, un jeune homme et une jeune femme, lisent les textes :

comédien à l'IMA, soirée Palestinecomédienne à l'IMA, textes palestiniens

 

 

 

 

 

 

 

 

Le premier prix de cette année, Abdulhamid Abuqubaita, compare dans sa nouvelle l’occupation israélienne à un cancer qui rongerait le corps d’une jeune fille depuis 1948. Aujourd’hui, elle a perdu l’usage de ses membres et ses sens car la maladie a envahi 90% de son corps et personne ne veut l’aider aux alentours. Ecrite dans un français parfait, la nouvelle est très émouvante, mais le plus émouvant, c’est qu’au milieu de sa lecture son jeune auteur sort un rouleau de papier pour se sécher les yeux, car il est en larmes !

Nouveauté cette année, de courts reportages vidéo réalisés par des étudiants sous la direction de Benoît Pergent, réalisateur et de Thomas Coex, photographe en chef du bureau de l’AFP à Jérusalem. Huit petits films nous sont proposés, sur des sujets aussi divers que la pêche, la surdité, l’agriculture, le travail des enfants… Bien sûr, le poids de l’occupation se fait sentir à chaque fois, mais une jeune fille très enthousiaste nous fait découvrir les lieux touristiques de Gaza puis son conservatoire de musique « car il n’y a pas que des terroristes et des maisons détruites par les bombes à Gaza », nous dit-elle. C’est ce dernier reportage qui emportera la faveur du public, elle recevra donc un cadeau, et nous le lui annonçons en direct car elle est avec nous par Skype, avec Ziad Medoukh, professeur de français à l’université de Gaza ! Elle est « très ravie » et c’est « très magnifique ! » de nous voir ce soir-là. Nous en pensons de même !

Bara'a avec Ziad Medoukh

 

Pour clore la soirée, les lauréats sont invités à dire quelques mots, Samar Nakleh, 3ème prix, nous a écrit un petit poème, Mariana Rantissi rayonne dans sa robe traditionnelle et Abdulhamid Abuqubaita nous remercie dans un français à peine accentué :

 

Echos de Palestine, les lauréats 2015

 

 

 

 

 

 

Il y a hélas une note de tristesse dans cette soirée, car ce sera la dernière si quelqu’un ne vient pas rejoindre l’association Ecriture en Liberté en Palestine pour s’occuper de trouver des financements. Je lance donc un appel ici pour que le formidable travail de Yanne Dimay et de son équipe continue. Comme une sorte de bilan, ce sont des florilèges qui sont publiés cette année, nous stimulant pour vouloir poursuivre cette belle aventure :

Echos de Palestine 2015

 

 

 

 

 

 

 

 

Des informations et un contact sur le site : Ecriture en liberté

Merci pour eux !

 

Category: Mes sorties
Tags: atelier d'écriture, français, institut du monde arabe, lecture, Palestine, soirée, université, Yanne Dimay
9 juillet 2015 21 h 27 min
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Hip Hop : du Bronx aux rue arabes

Exposition à l’Institut du Monde arabe à Paris jusqu’au 26 juillet

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Visite privée organisée par Mouv’ avec conférencière à l’appui lundi soir. Hersen Rivé, grâce à qui je suis là, complète ce que dit cette femme d’un certain âge. Il est trop calé en musique ! Elle nous dit que le DJ qui a inventé le sound system s’appelle Kool Herc « Personne ne le connaît, je vous rassure ». Elle ne sait pas à qui elle s’adresse ! Hersen est choqué que l’on puisse dire une telle chose, il y a quand même des professionnels en face d’elle. Et puis d’abord, me chuchote-t-il, c’est U Roy qui a inventé ça 10 ans avant en Jamaïque et qui a formé plein de DJs ! Nous sommes accueillis par des grosses radios cassettes graffées :

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On nous explique qu’un DJ est aux platines pour mixer les sons et on s’aperçoit vite que le public danse sur la partie musicale du morceau et non sur la partie chantée, le DJ rallonge donc la musique jusqu’à parfois atteindre 9′, c’est une révolution ! Un maître de cérémonie – MC – l’accompagne pour chauffer le public. Et que dit-il : « On fait hip, et maintenant on fait hop », le hip hop est né… Avec cette nouvelle culture musicale commence un mouvement culturel urbain qui touche la communauté afro-américaine, dans le Bronx en effet, puis va s’étendre à l’Europe. Vêtements, graffitis, musique, danse et style de chant, tout change. En France, ce sont des groupes comme IAM qui développent le mouvement. Sont d’ailleurs exposés deux manuscrits de chansons, Je danse le Mia d’IAM et Demain c’est loin d’Akhenaton et Shurik’n, c’est émouvant :

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C’est la diaspora qui apporte ces sons nouveaux dans les pays arabes où la culture de la rue est très importante. Le Micro Brise le Silence (MBS) en Algérie et DAM (Da Arabian MCs, mais aussi le sang) en Palestine se font vite connaître, nous explique l’expo. Dans les pays où la censure est lourde, les groupes s’exportent, produits en Europe. Une carte nous détaille le hip hop dans le monde arabe et l’on peut écouter ce qui s’y fait :

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Dans une salle, un DJ filmé nous explique les différentes techniques de mixage et leur nom deux platines et une table de mixage.

Au fond, l’expo parle aussi bien du hip hop lui-même que de la façon dont les jeunes des pays arabes se le sont approprié.

 

Les chansons arabes traditionnelles se prêtent bien aux samples, nous explique-t-on d’ailleurs, exemples à l’appui :

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En nous montrant des photos, des films, en nous faisant écouter des musiques, en nous rappelant les grands noms du hip hop en France, cette exposition montre comment une culture jeune et urbaine qui casse les codes et explose dans une créativité très libre se propage au-delà des frontières et des traditions locales dans les années 80. La musique et la danse voyagent sans limites, les arts plastiques aussi. Mixant les sons, inventant le breakdance pour danser sur ces nouveaux sons, peignant à la bombe des graffitis qui recouvrent les rames de métro aux Etats-Unis, les murs dans toute l’Europe puis dans les pays arabes, ces jeunes se sont tendu la main pour vibrer ensemble. Les graffeurs arabes ont adapté leur art à leur culture par de superbes calligraphies, les rappeurs arabes utilisent la langue de la rue pour exprimer leur colère et leurs frustrations dans le même style que les artistes américains et européens, ils portent les mêmes vêtements de sport. Bien avant Internet et YouTube, le hip hop a pu voyager d’un bout à l’autre de la planète et s’y sentir chez lui.

Pour conclure en beauté, deux exemples par des graffeurs arabes, visibles provisoirement sur un mur devant l’IMA et photographiés pour cette exposition :

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Après, cocktail sur la terrasse du 9ème étage, on admire la vue :

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Pour tout savoir sur l’expo et préparer une visite, pourquoi pas pendant le long week-end qui s’annonce : le site de l’IMA, page de l’expo

Category: Actualité culturelle
Tags: Bronx, exposition, graffitis, hip hop, institut du monde arabe, musique
26 juin 2015 22 h 09 min
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Boushra Almutawakel, photographe yéménite

On la connaît tous sans la connaître !

Sa série sur le voile circule sans cesse sur Facebook, nous l’avons tous eue un jour dans notre fil d’actu, sans forcément le copyright d’ailleurs… Moi j’ai eu le grand honneur de la rencontrer lors d’une soirée à l’Institut du Monde Arabe, à Paris, où ses photos étaient exposées avec celles de 4 de ses consoeurs, suite à la projection exceptionnelle du film de Khadija Al-salami Moi, Nojoom, 10 ans, divorcée, d’après le roman éponyme. La soirée était dédiée à la situation des femmes au Yémen (je parlerai de ce film extraordinaire et de sa réalisatrice, une femme exceptionnelle, prochainement), et financée par l’Union européenne dans le cadre de l’Année européenne pour le développement, avec le partenariat de RFI, France 24, Monte Carlo Douailiya et France Média Monde.

Un très beau catalogue a été édité, avec des reproductions des photos des 6 artistes yéménites, mais je vous montre la série sur le voile de Bousha Almutawakel « en situation » et vous allez tous vous exclamer « Ah mais oui, bien sûr ! » :

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Elle m’a expliqué avoir commencé cette réflexion sur le Hijab en retournant dans un village où les femmes de la tribu portaient les vêtements traditionnels chamarrés des premières photos et en les voyant couvertes de noir de la tête aux pieds dix ans plus tard. « C’est une tradition qui vient d’Arabie Saoudite », dit-elle, « ce n’est pas la nôtre ». De même, le voile peut être un moyen d’expression des femmes arabes ou, comme le dit l’écrivaine égyptienne Nawal Elsadawi, un moyen de se dissimuler, comme le maquillage ailleurs et provoquer l’ironie, voire l’humour, et donc un questionnement. Une autre série exprime ces réflexions de la photographe, intitulée Mouvement de l’oeil :

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La photographie est un moyen de montrer, de dénoncer, mais aussi de lutter contre les stéréotypes négatifs sur les arabes et les musulmans pour cette artiste rayonnante qui a vécu aux Etats-Unis et s’y trouvait le 11 septembre. « J’ai trouvé que nous, les Arabes et les musulmans, étions soit diabolisés, soit romancés. Ce paradoxe s’observe particulièrement au sujet de la femme au moyen orient, qui dans l’imaginaire populaire du nord est à la fois l’image de l’exotisme, de la beauté et du mystère, mais aussi celle de l’impuissance, de l’oppression et de la laideur. Une partie de cette représentation est liée au hijab. » explique Boushra Almutawakel.

Elle joue également avec les codes vestimentaires, comme dans sa série Et si… de 2008 où l’homme et la femme intervertissent leurs vêtements :

photo (28)

 

 

 

 

Les autres photos de cette exposition temporaire montraient également des femmes dans des scènes de rue, de la vie quotidienne ou, de façon plus militante, dans des poses soulignant leur statut inégal face aux hommes. Au Yémen, le mariage précoce des petites filles est une coutume tribale car les hommes trouvent normal qu’une nouvelle épouse vigoureuse vienne aider aux tâches ménagères et aux travaux des champs celle qui a perdu ses forces. Des artistes, des personnalités politiques arabes et européennes tentent de faire changer les mentalités. La guerre ralentit ces efforts mais ne décourage nullement les femmes exceptionnelles qui osent dénoncer ces traditions cruelles. Les autres photographes étaient : Rooj Al-Wazir, 27 ans, Bushra Al-Fusail, 29 ans, Arwa Al Hubaishi, 25 ans, Maha Senan, 25 ans, et Tana Faroq, 26 ans. Respect.

Category: Actualité culturelle
Tags: exposition, institut du monde arabe, photographes, Yémen
23 mai 2015 21 h 49 min
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Qantara, la revue de l’IMA

Magazine des cultures arabe et méditerranéenne

Une revue de très grande qualité publiée quatre fois par an par l’Institut du Monde Arabe, dont les articles sont rédigés par des historiens, des universitaires, des écrivains et des commissaires d’exposition, avec un dossier central richement documenté et agrémenté d’une bibliographie (voilà comment je possède désormais La question d’Orient de Jacques Frémeaux, professeur d’histoire contemporaine à la Sorbonne qui va tout m’apprendre sur l’histoire des Balkans à l’Afghanistan depuis le XVIIIème siècle).

Arts – expos, danse, théâtre, festivals… architecture – la ville de Casablanca par exemple, expositions à l’IMA et ailleurs sur des thèmes liés au Proche-Orient et au Moyen-Orient, choix de lectures et de musiques, extraits d’un roman, invitation au voyage et carnet de route illustré, poème avec sa traduction (que j’apprécie, moi qui apprends l’arabe), derniers ouvrages parus – littérature, histoire, géopolitique, BD,… articles illustrés de photographies d’archives ou plus récentes, portrait d’un orientaliste, entretien avec un poète ou un écrivain, la rubrique cuisine historique décalée de Marie-Josèphe Moncorgé, il y a de tout pour tous les goûts !

J’y suis abonnée mais vous trouvez la revue en kiosque et à l’IMA bien sûr. Les deux derniers numéros :

photo (24)

 

 

 

 

 

 

Comme d’habitude, je vous donne le lien pour toutes les infos ici

Category: Littérature
Tags: articles, arts, histoire, institut du monde arabe, livres, revue
Réalisé par Stéphane Roche • http://www.stephane-roche.fr