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#Art Nouveau

19 avril 2016 21 h 27 min
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Musée Roth Miksa, Budapest

Maître verrier et mosaïste en sa maison

Le Musée est situé dans la maison du Maître, dans la rue Nefelejcs à Budapest, une petite maison simple dans une rue écartée, près de la gare de l’Est, Keleti Pályaudvar, à Pest. C’est là que Róth Miksa, Miksa Róth en français car en hongrois on dit d’abord son nom de famille et ensuite son prénom, a vécu avec sa famille, jusqu’à sa mort en 1944 :

Maison de Roth Miksa

 

On peut y voir ses vitraux, dans le style Art Nouveau, ses mosaïques et, au premier étage, son appartement tel qu’il était à l’époque. Les vitraux sont très bien mis en valeur, éclairés bien sûr. On y trouve les motifs végétaux chers à l’Art Nouveau, comme ces roses anglaises inspirées de Charles Rennie Macintosh :

 

roses anglaises, vitrail Roth

 

 

 

Ou ces fleurs charmantes, et tout cet ensemble magnifique de décoration intérieure :

 

 

 

 

vitrail et déco intérieuremotifs végétaux

 

 

 

 

 

 

Il y a aussi des endroits du musée où l’on peut voir les vitraux illuminés par la lumière naturelle, particulièrement un jour ensoleillé :

vitrail Roth Miksa en lumière naturelle

 

 

 

 

 

 

 

 

Après un tour d’Europe en deux ans dans sa jeunesse, où il a visité la France, l’Allemagne, la Belgique, l’Italie et l’Angleterre, Róth Miksa a pris la suite de son père à l’atelier du verre et les commandes ont afflué. C’est lui qui a réalisé les vitraux du Parlement à Budapest. Il a remporté des prix aux expositions universelles, médaille d’argent à Paris en 1900, médailles d’or à Turin en 1902 et à Saint-Louis en 1904. Il a trouvé l’inspiration à l’étranger, ramenant avec lui deux artisans italiens, reproduisant également la technique du verre Tiffany (je n’entrerai pas dans les détails, je ne suis pas sûre de tout comprendre moi-même). Son oeuvre de mosaïste est également superbe, d’ailleurs son enseigne a été faite en mosaïque :

Enseigne de Roth Miksa en mosaïque

 

 

 

 

 

 

Plusieurs très belles réalisations sont exposées dans le musée, comme cet arbre de la connaissance :

Mosaïque arbre de la connaissance Roth Miksa

 

Très ouvert, il a mené un dialogue avec des peintres de l’époque, reproduisant certains de leurs tableaux. C’est sur la place Szervita, à Pest, que l’on peut voir un très bel immeuble décoré par ses mosaïques, une ancienne banque :

 

 

Török BankhazTörök Bankhaz détail

 

 

 

 

 

 

 

 

L’atelier se trouvait de l’autre côté de la cour intérieure, l’Etat hongrois prévoit d’y installer une annexe au musée avec la démonstration des techniques du vitrail. Affaire à suivre…
En attendant, vous pouvez y aller : Nefelejcs utca 26 dans le VIIème arrondissement. Ouvert de 14h à 18h tous les jours sauf le lundi. Site web : www.rothmuzeum.hu . Sur place, la documentation est en hongrois et en anglais.

Category: Voyages
Tags: Art Nouveau, Budapest, mosaïque, musée, vitrail
3 janvier 2016 19 h 33 min
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Hôtel et bains thermaux Gellért, Budapest

Budapest, ville thermale

Budapest est connue pour ses sources thermales et les bains où l’on peut se détendre, se faire masser et nager dans une eau qui soulage les articulations douloureuses. Il y a en tout 118 sources qui produisent 70 millions de litres par an d’une eau entre 21° et 78°. Les Hongrois sont très friands de sports nautiques, leur équipe nationale de water polo est présente dans tous les championnats et, faute de bords de mer depuis le Traité de Versailles en 1920, ils ont construit de grandes piscines à ciel ouvert où l’on peut bronzer tout l’été, climat continental oblige.

Gellért, à Buda plus exactement !

Située face au Mont Gellért qui doit son nom à Saint Gellért, martyrisé dans un tonneau hérissé de clous poussé le long de la pente, la source était exploitée dès le XIIIème siècle et les Turcs l’ont utilisée pendant leur occupation de Buda aux XVè-XVIèmes siècles. On l’appelait Sárosfürdö, le bain boueux car il y avait un dépôt de boue au fond de l’eau, dont on se servait pour des soins. Lorsque le Pont François Joseph a été construit en 1894, le petit établissement thermal a été détruit. La municipalité de Budapest ayant récupéré source et terrain, a décidé en 1901 d’y faire construire un hôtel flanqué d’un établissement thermal. Les travaux ont eu lieu entre 1912 et 1918, des prisonniers de guerre soviétiques ayant même participé à la construction pendant la dernière année de la Première guerre mondiale. Il n’est donc pas étonnant que l’édifice soit dans le style Sécession, comme on appelle l’Art Nouveau en Hongrie :

Bains Gellért, Budapest

 

A l’intérieur, une grande galerie bordée de céramiques de Zsolnay, des vitraux réalisés dans l’atelier de Miksa Róth, des statues et les deux ailes en miroir : pédicure, saunas, massage aux pierres chaudes, traitement au chocolat, bain aux herbes médicinales, terrasse naturiste… Et les piscines, dont celle à vagues mondialement célèbre avec sa machine, conçue en 1927,  qui fonctionne toujours.

 

 

Voici l’entrée :

Entrée Gellért

 

 

Une grande galerie va jusqu’au fond, coupée par une rotonde garnie de bancs où l’on peut attendre son rendez-vous de soins ou se reposer en sortant.

 

 

coupole Bains Gellértvitraux Bains Gellért

 

 

 

 

 

 

Et dans ce lieu dédié aux soins du corps, Vénus nous attend au fond de la galerie, entourée de céramiques Zsolnay et de vitraux Art Nouveau :

Fontaine Vénus, bains Gellért

 

C’est ouvert de 6h à 20h, on peut s’y rendre directement pour les piscines, mais il faut y aller avant pour un rendez-vous de soins car on vous donne un petit bracelet à rapporter le jour du rendez-vous.

 

 

 

 

Pour tout savoir que je n’ai pas dit, leur site en français . profitez bien et revenez m’en parler !

Category: Voyages
Tags: Art Nouveau, Bains thermaux, Budapest, Gellért, Hongrie, sources
20 mai 2015 22 h 34 min
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Louis Comfort Tiffany (1848 – 1933)

Le bijoutier ? Tiffany & Co à New-York ? Non, son fils !

Tout le monde a en mémoire Audrey Hepburn qui va contempler les vitrines du bijoutier en croquant dans un croissant pour son petit-déjeuner… La firme connaît d’ailleurs un succès fou ces temps-ci avec ses bracelets auxquels s’attachent des charms de toute sorte, et ses clés en pendentif, vendus dans des boîtes vert pâle très reconnaissables.

Il est question ici du fils, artisan génial du verre, créateur majeur de l’Art Nouveau en Amérique, aussi connu de son temps qu’Emile Gallé en France au tournant du XXème siècle. Sa technique du verre opalin a été employée pour des vitraux en décoration intérieure, mais aussi pour des vases et… oui bien sûr, vous ne connaissez qu’elle, la fameuse « lampe Tiffany » dont on fabrique à l’envi des reproductions en plastique Made in China ! En voici une originale et je vous vois d’ici faire « Ah oui bien sûr ! » :

IMG_0986

Pourquoi est-il intéressant ? Car l’Art Nouveau appelé ainsi en France et en Belgique, a surtout « pris » en Europe – Sécession à Vienne, Prague et Budapest, Jugendstil en Allemagne, Arts and Crafts en Grande Bretagne, influences folkloriques en Finlande et en Europe du Nord en général. Les créations de Louis Comfort Tiffany nous viennent de l’autre côté de l’Atlantique, leur auteur ayant été influencé par William Morris, l’un des chefs de file du mouvement Arts and Crafts. Il a travaillé le verre, créant des couches superposées de motifs, des inclusions de verre sur du verre et même des filaments métalliques dans la matière, tout cela en motifs végétaux typiques de l’art 1900.

IMG_0988IMG_0990

 

 

 

 

 

 

On peut bien voir la technique sur ces photos d’une exposition ayant eu lieu au château Festetics de Keszthely en Hongrie où je passais par hasard.

IMG_0991

J’espère vous avoir donné envie de découvrir les oeuvres de Tiffany au-delà de la lampe colorée dont les mauvaises imitations se voient partout. J’en profite pour rendre hommage aux musées hongrois qui, moyennant un petit supplément au prix du billet d’entrée, vous autorisent à photographier les oeuvres exposées. Merci à Csilla, ma cousine, qui s’en est acquitté pour me permettre de garder un souvenir de cette magnifique exposition où figuraient également des vases de Gallé (si loin de Nancy)…

Category: Actualité culturelle
Tags: Art Nouveau, lampes, Tiffany, vases
12 avril 2015 19 h 40 min
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Exposition : Au temps de Klimt, la Sécession à Vienne

A la Pinacothèque de Paris jusqu’au 21 juin

Vous qui me lisez fidèlement, vous savez mon intérêt passionné pour cette période de l’histoire de l’art – en gros, 1898-1914 – et pour l’expression de ce style dans la capitale de l’Empire austro-hongrois. J’en ai déjà parlé dans mon article Vienne – la Sécession et Otto Wagner suite à une visite dans la capitale autrichienne. Cela ne surprendra donc personne que j’aie vu cette exposition parisienne :

photo (12)

 

Elle a été remarquablement conçue car on nous montre tout d’abord François-Joseph 1er (portraits et statue) sous le règne de qui a éclos ce style en rupture (sécession) avec le classicisme et le baroque favorisés par l’aristocratie et la grande bourgeoisie à la fin du XIXème siècle. Représenté par les architectes Guimard et Majorelle en France, Victor Horta en Belgique, Charles Rennie MacIntosh et Aubrey Beardsley en Grande-Bretagne, ce style Art Nouveau a explosé jusqu’à la Première guerre mondiale dont les atrocités ont ensuite inspiré l’expressionnisme en peinture, puis une réaction à ce chaos avec l’Art Déco à la fin des années 20.

Même si c’est un tableau de lui qui figure sur l’affiche, il ne s’agit pas d’une exposition dédiée à Klimt, mais d’autres peintres, designers et architectes sont représentés aux côtés de cet artiste majeur de la période – Carl Moll, Koloman Moser, Egon Schiele, Max Kurzweil, Oskar Kokoschka, on ne peut les citer tous. Nous pouvons même voir de magnifiques céramiques de l’artiste polonais Michael Powolny, des meubles de Joseph Hoffman et d’Adolf Loos. Didactique, l’exposition nous explique ainsi que la Sécession, avec la création des ateliers viennois, Wiener Werkstätte (je vous renvoie à mon article sur le sujet), vise à bouleverser nos habitudes esthétiques dans tous les domaines de notre cadre de vie : mobilier, décoration intérieure, peinture, sculpture, céramique, bijoux, illustrations de livres… Avec une surprise somptueuse : une copie de la Frise de Beethoven de Gustav Klimt en demi cercle sur les murs de la salle du bas (mon coeur s’est arrêté de battre, j’ai cru un instant que l’original avait été décroché du mur du Pavillon de la Sécession de Vienne pour cette exposition parisienne) !

Interdiction de prendre des photos, je n’ai pas bravé l’interdit, alors courez-y et vous serez éblouis ! C’est ouvert tous les jours de 10h30 à 18h30, nocturnes les mercredis et vendredis jusqu’à 20h30, ouvert de 14h à 18h30 le 1er mai. Et si vous n’avez pas les moyens de vous offrir le catalogue, faites comme moi, prenez la revue en couleurs de la Pinacothèque, c’est déjà très bien fait.

photo (13)

En couverture, Judith toujours, un célèbre tableau de Klimt qui représente la femme qui a séduit le général païen Holopherne en l’enivrant et l’a décapité pendant la nuit, sauvant ainsi les Juifs qu’il allait massacrer. Cette héroïne, ainsi que Salomé sur qui Oscar Wilde a écrit une pièce de théâtre, a inspiré les artistes depuis Le Caravage jusqu’à la Sécession : la Femme sensuelle initiée aux mystères de la vie et liée à la nature magique où elle emmène l’homme trop attaché au matérialisme terrestre peut aussi être dangereuse et apporter la mort…

 

Et voici Salomé :

photo (15)

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous trouverez tous les renseignements pour la visite sur le site de La pinacothèque.

Category: Actualité culturelle
Tags: architectes, Art Nouveau, exposition, Klimt, peintres, Sécession, Vienne
24 mars 2014 22 h 26 min
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Pécs – La manufacture Zsolnay

La porcelaine hongroise

Il existe deux manufactures de porcelaine en Hongrie. La plus connue est Herend, située à… Herend, dans le centre du pays, et la seconde porte le nom de son fondateur : Zsolnay, et se trouve à Pécs, la grande ville du sud-ouest. Toutes deux ont commencé leur existence au milieu du XIXème siècle, à l’ère industrielle aussi, même si les pièces sont peintes à la main, on n’y a jamais fabriqué de pièces uniques, ce qui en fait le dédain des collectionneurs. Les autres, c’est-à-dire vous et moi, nous qui n’avons pas les moyens de nous offrir une tasse à café à 20 000 euros, apprécient les figurines et vases de Herend et Zsolnay aux fins décors d’oiseaux ou de fleurs, même si le voisin a les mêmes…

Le quartier Zsolnay – Zsolnay negyed

En 2010, Pécs a été capitale européenne de la culture et a ainsi bénéficié de subventions de l’Union Européenne pour accueillir dignement les touristes. L’ancienne manufacture a été transformée en site culturel où s’exposent les objets fabriqués depuis plus d’un siècle dans trois musées, autrefois la maison des propriétaires, celle de la petite-fille du fondateur et de son mari, et d’anciens ateliers. On peut toujours voir les peintres au travail et quelques artisans qui font des bijoux – la grande tendance actuelle. Les cheminées ont également été conservées :

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L’ancienne école des apprentis est devenue une grande école d’art où l’on étudie le design, la musique, la peinture… Il y a également les bâtiments où l’on faisait le pyrogranite, une céramique résistante au gel qui a servi pour les canalisations et gouttières que l’on voit encore en ville, et pour décorer des toits et des façades, comme celle de la poste principale :

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La manufacture s’est rendue célèbre à l’Exposition Universelle de 1873 à Vienne, attirant ensuite à Pécs des peintres et des artisans de tout l’Empire. Des savants les ont rejoints, logés sur place, et ont mis au point avec Vilmos, le fils du fondateur, la fameuse technique dite « éosine », une glaçure métallique lustrée inspirée des techniques du Bassin méditerranéen et de l’art hispano-mauresque adaptée au goût Art Nouveau. L’ancienne maison de Julia, la fille de Vilmos, et de son mari, abrite une prestigieuse collection de vases et plats réunie par un collectionneur hongrois qui a racheté des pièces aux Etats-Unis et dans tous les coins du monde où il en a trouvé. On peut y voir des décors inspirés de céramiques turques dans le style d’Iznik mais aussi persanes et, au rez-de-chaussée, de somptueuses pièces Art Nouveau, l’âge d’or de Zsolnay :

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       A gauche, la Perse, à droite l’Art Nouveau… Sublime !

Et il y a aussi ces tulipes typiques de l’époque, tellement célèbres que ce sont quelques pièces de ce style qui ont figuré à l’exposition Zsolnay de Nancy en 2001.

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La collection rose

Un architecte du nom de Barnabás Winkler a hérité d’une cruche pour le vin il y a une quarantaine d’années. La particularité de cet objet d’usage quotidien fabriqué par Zsolnay était la glaçure rose. Coup de foudre ! Il s’est mis à collectionner tout ce qui était sorti de la manufacture dans cette couleur : cruchons, pots à graisse ou à confiture, passoires, cocottes, ustensiles de salle de bain… Sa trouvaille la plus invraisemblable ? Une cruche dans un magasin d’antiquités dédié aux objets africains où il s’était abrité de la pluie… à Bruxelles ! Résultat : une exposition de plus de 1000 objets, des plus simples utilisés par les paysans, aux plus sophistiqués ornés d’or pour les tables des maisons bourgeoises. L’autre fille de Vilmos, Teréz, en parle ainsi dans la réserve où on les stockait dans les années 1880 : »Lorsque le soleil entrait par les grandes fenêtres orientées plein sud, même l’air paraissait rose. »

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Pour finir, les trois pièces de Zsolnay dans ma collection de petites assiettes (dont il sera question ici bientôt). Le service de table existe pour chaque motif.

photo (6)

Category: Actualité culturelle
Tags: Art Nouveau, manufacture, Pécs, porcelaine, rose, Zsolnay
Réalisé par Stéphane Roche • http://www.stephane-roche.fr