• Accueil
  • Actualité culturelle
  • Voyages
  • Hongrie
Domi-leblog
  • Littérature
  • Mes sorties
  • My Playlist
  • Mes cours d’arabe
  • Articles récents

    • Expo Le studio africain à Paris
    • 50 nuances de Pink
    • Le must-have piégeux de la panoplie bobo
    • Wao ! Ton soin du visage personnalisé ! Fait par toi !
    • La Disparition de Jim Sullivan – Tanguy Viel
  • Commentaires récents

    • domi dans Le must-have piégeux de la panoplie bobo
    • So' dans Le must-have piégeux de la panoplie bobo
    • lorentus dans Saint Valentin – le piège
    • Lorentus HOUEDOTE dans Essaouira : festival gnaoua et musiques du monde, waouh !
    • domi dans Expo Le studio africain à Paris
  • Archives

    • janvier 2019
    • décembre 2018
    • novembre 2018
    • octobre 2018
    • septembre 2018
    • août 2018
    • juillet 2018
    • avril 2018
    • février 2018
    • janvier 2018
    • décembre 2017
    • novembre 2017
    • octobre 2017
    • septembre 2017
    • août 2017
    • juillet 2017
    • juin 2017
    • mai 2017
    • avril 2017
    • mars 2017
    • février 2017
    • janvier 2017
    • décembre 2016
    • novembre 2016
    • octobre 2016
    • septembre 2016
    • août 2016
    • juillet 2016
    • juin 2016
    • mai 2016
    • avril 2016
    • mars 2016
    • février 2016
    • janvier 2016
    • décembre 2015
    • novembre 2015
    • octobre 2015
    • septembre 2015
    • août 2015
    • juillet 2015
    • juin 2015
    • mai 2015
    • avril 2015
    • mars 2015
    • février 2015
    • janvier 2015
    • décembre 2014
    • novembre 2014
    • octobre 2014
    • septembre 2014
    • août 2014
    • juillet 2014
    • juin 2014
    • mai 2014
    • avril 2014
    • mars 2014
    • février 2014
    • janvier 2014
    • décembre 2013
  • facebook google twitter

#soirée

24 septembre 2015 21 h 27 min
Leave a Comment

Echos de Palestine 2015

La soirée à l’Institut du Monde Arabe

C’était la semaine dernière, le désormais traditionnel rendez-vous de l’association, peut-être vous souvenez-vous de mon article de l’an dernier sur le sujet ? Rappel  : chaque année, l’écrivain Yanne Dimay parcourt la Palestine pour animer des ateliers d’écriture dans les départements de français des 4 grandes universités palestiniennes : Gaza, Naplouse, Hebron, Bir Zeit. Elle organise un concours de nouvelles et un jury en choisit 15 qui seront publiées dans un petit volume Echos de Palestine aux éditions du Littéraire. Les trois premiers lauréats se voient offrir un séjour d’une semaine à Paris avec visites touristiques et peuvent ainsi être présents à la soirée organisée pour eux tous à l’Institut du Monde arabe. Deux jeunes comédiens de la compagnie de la Feuille d’Or lisent les textes. Une adaptation théâtrale mise en scène par Dany Toubiana est en projet, renseignements sur le site de la Feuille d’Or.

Yanne Dimay présente la soirée :

Yanne Dimay, IMA

 

 

 

 

 

 

Puis les comédiens, un jeune homme et une jeune femme, lisent les textes :

comédien à l'IMA, soirée Palestinecomédienne à l'IMA, textes palestiniens

 

 

 

 

 

 

 

 

Le premier prix de cette année, Abdulhamid Abuqubaita, compare dans sa nouvelle l’occupation israélienne à un cancer qui rongerait le corps d’une jeune fille depuis 1948. Aujourd’hui, elle a perdu l’usage de ses membres et ses sens car la maladie a envahi 90% de son corps et personne ne veut l’aider aux alentours. Ecrite dans un français parfait, la nouvelle est très émouvante, mais le plus émouvant, c’est qu’au milieu de sa lecture son jeune auteur sort un rouleau de papier pour se sécher les yeux, car il est en larmes !

Nouveauté cette année, de courts reportages vidéo réalisés par des étudiants sous la direction de Benoît Pergent, réalisateur et de Thomas Coex, photographe en chef du bureau de l’AFP à Jérusalem. Huit petits films nous sont proposés, sur des sujets aussi divers que la pêche, la surdité, l’agriculture, le travail des enfants… Bien sûr, le poids de l’occupation se fait sentir à chaque fois, mais une jeune fille très enthousiaste nous fait découvrir les lieux touristiques de Gaza puis son conservatoire de musique « car il n’y a pas que des terroristes et des maisons détruites par les bombes à Gaza », nous dit-elle. C’est ce dernier reportage qui emportera la faveur du public, elle recevra donc un cadeau, et nous le lui annonçons en direct car elle est avec nous par Skype, avec Ziad Medoukh, professeur de français à l’université de Gaza ! Elle est « très ravie » et c’est « très magnifique ! » de nous voir ce soir-là. Nous en pensons de même !

Bara'a avec Ziad Medoukh

 

Pour clore la soirée, les lauréats sont invités à dire quelques mots, Samar Nakleh, 3ème prix, nous a écrit un petit poème, Mariana Rantissi rayonne dans sa robe traditionnelle et Abdulhamid Abuqubaita nous remercie dans un français à peine accentué :

 

Echos de Palestine, les lauréats 2015

 

 

 

 

 

 

Il y a hélas une note de tristesse dans cette soirée, car ce sera la dernière si quelqu’un ne vient pas rejoindre l’association Ecriture en Liberté en Palestine pour s’occuper de trouver des financements. Je lance donc un appel ici pour que le formidable travail de Yanne Dimay et de son équipe continue. Comme une sorte de bilan, ce sont des florilèges qui sont publiés cette année, nous stimulant pour vouloir poursuivre cette belle aventure :

Echos de Palestine 2015

 

 

 

 

 

 

 

 

Des informations et un contact sur le site : Ecriture en liberté

Merci pour eux !

 

Category: Mes sorties
Tags: atelier d'écriture, français, institut du monde arabe, lecture, Palestine, soirée, université, Yanne Dimay
27 janvier 2014 23 h 16 min
2 Comments

Yves Saint Laurent Parfums

MON PARFUM

Soudain en juin, une envie de différence : la nouvelle Domi, plus sûre d’elle, plus dynamique, les ailes déployées dans le printemps… On me trouve radieuse ? Très bien, je vais exprimer cette radiance par un nouveau rouge à lèvres, rose, lumineux, vif mais pas fuchsia (ça c’était Domi Iconic avec Dior au milieu de l’hiver…), clair et primesautier. Vers qui aller ? Yves Saint Laurent bien sûr ! LE spécialiste des roses bleus (et quelquefois ça fait du bien d’arrêter de réfléchir à la Weltanschauung de Heidegger et de se poser les vraies questions). En route pour un rendez-vous dans le XVIIème, je m’arrête au Printemps et rencontre un jeune homme délicieux chez Saint Laurent. On s’entend tout de suite à merveille, forcément il est très commerçant, donc j’ai une peau très fraîche, on me donnerait des années en moins, j’ai des yeux bleus magnifiques qu’il faut mettre en valeur avec la Touche éclat, le produit phare de la Maison, il s’en vend un toutes les 20 secondes dans le monde, ça gomme les reliefs, illumine le regard en anti-cernes, met de la lumière dans le terne (il a lu dans mes pensées, ou quoi ?). En fait de rouge à lèvres, je prends aussi ce produit, le sérum contour des yeux, c’est la gamme Forever, tu comprends tout de suite qu’on te vend de la jeunesse mais tu n’es pas dupe, tu ES jeune !!!

Et là, le choc inattendu, qui se produit si rarement dans la vie, la rencontre, l’éblouissement, le coup de coeur incroyable ! Je défaille, je vacille, je suis séduite à tout jamais, perdue, attirée irrésistiblement : je viens de respirer une fragrance toute nouvelle, ça vient de sortir et c’est même tellement nouveau qu’on le trouve en exclusivité dans les Grands Magasins ! Je me pâme avec quelques gouttes au creux du poignet. Majestic Rose ! Un boisé oriental qui évoque les cercles littéraires dans les salons feutrés d’un Palais oriental où l’on discute de manuscrits précieux mais où se nouent aussi de secrètes intrigues amoureuses… « C’est pour moi la littéraire amoureuse ! » Et le jeune homme poursuit : »Le logo noir YSL en transparence sur ce flacon de verre cubique évoque les moucharabiehs des harems ». « C’est pour moi qui apprends l’arabe ! » m’écriai-je derechef. Et voici qu’il me dit que ce parfum original à la rose de mai et au bois d’oud (j’explique dans un instant ce que c’est, pas de panique !) ira à une femme de caractère telle que moi, working girl affirmée et sûre de sa place dans la vie… J’hésite, je viens de me racheter mon parfum, c’est une grosse dépense… Deux heures plus tard, je repasse par là et je n’hésite plus : si je ne sens plus ce parfum au quotidien sur ma peau je vais me languir comme une amoureuse abandonnée… Le jeune homme éclate de rire en me voyant revenir, nous sommes amis pour la vie ! C’est dit : je laisserai sur mon passage un sillage capiteux, aux mystérieux effluves boisés orientaux de rose, de safran et de framboise. Séduits, les hommes s’évanouiront, fascinés, et moi je serai emmenée par un fier cavalier des steppes tout juste descendu de son cheval aux naseaux encore fumants, euh… non là, Domi, tu délires… Ah ? Dommage… Euh les garçons, vous en pensez quoi, de mon nouveau parfum ?

mjestic Rose

majestic Rose

LA SOIREE PARFUMS YVES SAINT LAURENT

Cliente fidèle (ben oui, j’en suis à mon 2ème flacon hors de prix, tu penses), je suis invitée ce lundi soir à une soirée de présentation des parfums Yves Saint Laurent, depuis le tout premier en 1964, Y, jusqu’à Opium et Paris, en passant par Rive Gauche et Pour un Homme… On nous explique qu’il faut entre 3 et 5 ans pour élaborer un parfum. Il y a 14 experts olfactifs chez Saint Laurent, mais Monsieur était un pionnier olfactif, un avant-gardiste. Ses parfums représentent le luxe, l’opulence, l’audace, la sophistication, le contraste (oui c’est tout moi, ça), un délice avec une overdose de la matière. Ah ? Oui, il y a un « thème overdosé portable ». Un arôme poussé à l’extrême, au-delà de la norme mais tellement travaillé, ciselé, que cest renversant. Un apprenti « nez » doit connaître les 1500 parfums naturels et les 1500 parfums synthétiques, sachant que l’emploi d’un parfum synthétique va sublimer le parfum naturel. Yves Saint Laurent a osé utiliser des épices comme le poivre et les baies roses en plus du girofle et de la cannelle, dans Opium par exemple, et il a été le premier à sortir du registre des eaux de cologne fraîches pour homme en construisant un chypré (celui pour lequel il a posé nu au début des années soixante-dix). On nous donne des languettes parfumées à la violette, à la gousse de vanille, au santal, au vétyver, à l’iris, etc. pour nous faire comprendre ce qui entre dans la composition de chaque parfum que l’on nous fait respirer aussi. C’est très intéressant ! Et enfin :

LE BOIS D’OUD (OUD WOOD)

C’est LA découverte de la parfumerie aujourd’hui ! L’ingrédient sublimissime ! Il y en a dans mon nouveau parfum, normal, on suit l’actu ou on ne la suit pas… Il s’agit d’un arbre qui pousse beaucoup au Maroc mais ailleurs aussi et qui s’appelle l’agar. Il a la particularité d’être attaqué par un champignon qui le dévore. Et c’est alors que, malade, il exhale un parfum extraordinaire. On gratte donc la couche rongée par le champignon et on distille. Simple, oui, mais… Il faut un certificat spécial pour importer cette « maladie » en France, aussi des parfumeurs indélicats utilisent l’oud synthétique. Mais devinez quoi ? Saint Laurent a les précieux certificats pour distiller le vrai champignon naturel bien horrible !!! C’est capiteux, envoûtant, original, rare… Si on se croise, vous le respirerez sur ma peau… Hmmm…

Yves Saint Laurent parfumsYves Saint Laurent 1

Category: Mes sorties
Tags: oud, parfum, Printemps, rose, rouge à lèvres, Saint Laurent, soirée
Réalisé par Stéphane Roche • http://www.stephane-roche.fr