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#américain

6 novembre 2018 23 h 46 min
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La Disparition de Jim Sullivan – Tanguy Viel

Je n’avais rien lu de cet auteur, et celui-ci m’a été suggéré par un blogueur dont les goûts sont proches des miens, dans une chronique publiée dans une communauté Google+, bienvenue au XXIème siècle !

Quoi de plus délicieux, que de découvrir un auteur, quand on aime lire ?

Tanguy Viel nous prévient tout de suite : lui, l’écrivain français, a eu envie d’écrire un roman américain avec des personnages américains vivant dans un lieu américain, ressentant des émotions américaines. Cliché ? Imitation ? Loin de là ! Ce roman postmoderne construit en abyme raconte une histoire en train de s’imaginer dans l’esprit de l’écrivain qui s’inspire de ce qu’il connaît de la littérature et de la culture américaines. Alors, non seulement le lecteur est embarqué dans une histoire de divorce, d’alcoolisme, de délinquance et de déchéance, comme les écrivains américains savent les écrire, mais Tanguy Viel nous dévoile les ficelles de cette narration, de la construction de cette fiction. Il nous explique ce qu’un écrivain américain aurait développé à partir de telle ou telle scène, ce qu’il aurait révélé des personnages et donc que lui, écrivain français voulant écrire un roman américain, se doit d’écrire aussi.

Et la conclusion de tout cela nous entraîne dans la réalité imaginaire d’un roman américain pur jus. Et Tanguy Viel piège ainsi son lecteur avec un final grandiose et inattendu, magistral. C’est court, ça se déguste comme un whisky soda juste avant le barbecue, c’est délectable !

Extrait :

Pour tout dire, j’ai pensé longtemps que mon livre commencerait là-dessus, sur ce grand dîner qui poserait tous les personnages ensemble et donnerait une vraie idée de l’Amérique, à cause de plusieurs romans que j’avais lus qui commençaient  comme ça, sur une grande scène où il ne se passe rien mais qui permet de présenter tout le monde.
J’ai longtemps réfléchi à ce qu’un romancier américain aurait fait avec ça, un dîner dans l’Amérique blanche du Michigan, avec Dwayne qui ferait griller deux kilos de boeuf sur sa terrasse, avec l’odeur des pins et les conversations autour du base ball, avec Ralph et Becky qui se joindraient à eux pour que Dwayne soit moins seul.

Category: Littérature
Tags: américain, Jim Sullivan, roman, Tanguy Viel
29 juillet 2016 22 h 58 min
2 Comments

Mais où va s’épanouir le rap à l’international ?!

Rap français contre ou inspiré du rap américain, une polémique dépassée !

En France, les spécialistes du genre s’interrogent souvent sur les influences du rap américain sur le rap français, ou comment les uns se sont démarqués des autres. J’ai assisté d’ailleurs récemment à une émission publique qui traitait des mots du rap et qui en parlait, j’en ai rendu compte dans mon article sur Les mots du rap ensuite.

Bon, je n’ai pas encore dévoilé qui était mon rappeur américain préféré, alors voici l’un d’eux, dans sa nouvelle création : il s’agit de Nas, dont le film The Land va bientôt sortir. L’extrait de la bande originale, This Bitter Land avec Erykah Badu, est déjà accessible, et sublime. Ce type a un talent fou et je suis sûre que son film va faire un carton :

J’ai aussi parlé ici de la très belle expo sur le rap dans les pays arabes Hip Hop : du Bronx aux rues arabes où l’Institut du Monde Arabe nous dévoilait des groupes pour qui ce genre de musique constituait l’expression d’une révolte ou la rage de se faire entendre. Je ferai plus tard un article entier sur mes chouchous, DAM (Dem Arab Mcs) rappeurs palestiniens. L’un des membres, Tamer Nafar a écrit le scénario d’un film, Junction 48 réalisé par Udi Aloni et dans lequel il joue le rôle d’un musicien de Hip Hop amoureux d’une musicienne. On commence à en parler dans les festivals, alors forcément j’en parlerai aussi…

Mais on rappe aussi en Iran ! Ecoutez Yas, de son vrai nom Yaser Bakhtiari, qui rappe en persan, influencé étant môme par Tupac Shakur ! Allez dire après ça que le pays est totalement fermé… Moi ça m’a fait chaud au coeur de le découvrir sur Deezer. Il a aussi lu la poésie persane, ce qui nous fait vraiment regretter de ne pas comprendre ce qu’il chante…

Et puis bien sûr, on rappe en Hongrie. J’ai découvert ce groupe il y a quelques mois grâce à une collègue et amie de la Radio jeune hongroise et j’adore, je vous en fais profiter. Le titre est un jeu de mot sur Zen – Bouddhisme Zen, Bouddhisme zene (prononcer zènè) qui veut dire musique. Refrain : ton âme est la mélodie, ton corps le rythme, l’esprit est la rime, c’est le Bouddhisme musique. Cela parle d’être en harmonie avec soi-même. Le groupe s’appelle Akkezdet Phiai, ce qui sonne un peu grec (on pense à la lettre Phi de philosophie) et n’est pas écrit comme cela devrait mais cela veut dire Les Fils du Commencement. Quel commencement les a engendrés, on ne sait pas, mais je trouve qu’ils ont du talent, voici la chanson :

Je vais m’arrêter là pour ne pas vous fatiguer, je voulais juste montrer que le Hip Hop se répand partout et s’adapte à toutes les langues, la musique demeure universelle et c’est encourageant, par les temps qui courent !

Category: My Playlist
Tags: américain, français, hip hop, hongrois, musique, persan, Rap
Réalisé par Stéphane Roche • http://www.stephane-roche.fr